Comment analysez-vous ce match contre l’Islande ?
YOANN GOURCUFF. Il
y a eu deux mi-temps différentes. En deuxième période, on a effectué un
pressing plus intense et plus haut qui nous a permis de récupérer les
ballons plus hauts. On ne fait pas une mauvaise première période, on
était bien mais on se fait avoir sur deux contres. Etre menés 2 à 0
alors qu’on maitrisait le match et qu’on avait des opportunités c’était
un peu rageant surtout devant notre public.
F.-S. Avez-vous été inquiet quand vous étiez mené après 35 minutes ?
Y.G. On n’a pas paniqué. A la mi-temps, le coach nous a annoncé qu’on allait marquer trois buts. Il ne fallait juste pas en prendre d’autres. Toutes les situations qu’on a manquées en première, on les a mises en deuxième. Le coach nous avait dit de leur mettre la pression plus haut. On était parfois un peu déséquilibré en première période. Après la pause, on a mieux récupéré le ballon et on s’est projeté plus vite sur le but adverse.
F.-S. Comment vous êtes-vous senti dans une position plus basse sur le terrain ?
Y.G. J’étais bien physiquement et j’avais pas mal de jus. J’avais déjà joué dans ce registre là en Angleterre. Ce n’est pas un poste nouveau pour moi. Il faut juste que je sois juste plus attentif au niveau défensif que j’essaie de jouer simple et de donner de bons ballons à nos attaquants tout en essayant d’être attentif et bien coordonné avec Yohan pour essayer de récupérer les ballons. C’était bien de faire le lien entre la défense et l’attaque. Il faut juste trouver le bon équilibre pour se concentrer sur les deux tâches. Quand j’évolue à ce poste, il faut que j’aide nos défenseurs pour qu’ils soient moins sous pression.
F.-S. Avez-vous été inquiet quand vous étiez mené après 35 minutes ?
Y.G. On n’a pas paniqué. A la mi-temps, le coach nous a annoncé qu’on allait marquer trois buts. Il ne fallait juste pas en prendre d’autres. Toutes les situations qu’on a manquées en première, on les a mises en deuxième. Le coach nous avait dit de leur mettre la pression plus haut. On était parfois un peu déséquilibré en première période. Après la pause, on a mieux récupéré le ballon et on s’est projeté plus vite sur le but adverse.
F.-S. Comment vous êtes-vous senti dans une position plus basse sur le terrain ?
Y.G. J’étais bien physiquement et j’avais pas mal de jus. J’avais déjà joué dans ce registre là en Angleterre. Ce n’est pas un poste nouveau pour moi. Il faut juste que je sois juste plus attentif au niveau défensif que j’essaie de jouer simple et de donner de bons ballons à nos attaquants tout en essayant d’être attentif et bien coordonné avec Yohan pour essayer de récupérer les ballons. C’était bien de faire le lien entre la défense et l’attaque. Il faut juste trouver le bon équilibre pour se concentrer sur les deux tâches. Quand j’évolue à ce poste, il faut que j’aide nos défenseurs pour qu’ils soient moins sous pression.
F.-S. Avez-vous ressenti une pression supplémentaire ?
Y.G. Non, pas du tout. J’étais concentré sur mon jeu et sur le fait d’être bien dans l’équipe et de trouver mes partenaires. Ça fait quand même un moment que je me sens bien physiquement. J’ai été assez à l’aise dans mes courses. Le coach m’avait demandé de roder près de la surface au cas ou un ballon traînait. Comme Samir (Nasri) tirait les coups de pied arrêtés, je devais apporter le nombre dans la surface.
F.-S. Est-ce que vous espérer être dans liste des 23 ?
Y.G. Pour l’instant, je n’y pense pas. Je pense à jouer et à bien m’entraîner. Je vis au jour le jour. Il vaut mieux ne pas se prendre la tête et de penser à son jeu et au football. Ce sont des choses que je ne maitrise pas. On verra en temps et en heure ce qu’il se passera. Mais il est clair que l’objectif, quand on est là, c’est de faire partie de la liste des 23. Le coach ne nous en a pas parlé. On verra. On était concentré sur ce match face à l’Islande contre qui on voulait faire bonne figure.
F.-S. Cela vous fait du bien de revenir en équipe de France ?
Y.G. Je suis heureux d’être là et on a tous envie de très bien faire. Je suis là à la disposition de
Y.G. Non, pas du tout. J’étais concentré sur mon jeu et sur le fait d’être bien dans l’équipe et de trouver mes partenaires. Ça fait quand même un moment que je me sens bien physiquement. J’ai été assez à l’aise dans mes courses. Le coach m’avait demandé de roder près de la surface au cas ou un ballon traînait. Comme Samir (Nasri) tirait les coups de pied arrêtés, je devais apporter le nombre dans la surface.
F.-S. Est-ce que vous espérer être dans liste des 23 ?
Y.G. Pour l’instant, je n’y pense pas. Je pense à jouer et à bien m’entraîner. Je vis au jour le jour. Il vaut mieux ne pas se prendre la tête et de penser à son jeu et au football. Ce sont des choses que je ne maitrise pas. On verra en temps et en heure ce qu’il se passera. Mais il est clair que l’objectif, quand on est là, c’est de faire partie de la liste des 23. Le coach ne nous en a pas parlé. On verra. On était concentré sur ce match face à l’Islande contre qui on voulait faire bonne figure.
F.-S. Cela vous fait du bien de revenir en équipe de France ?
Y.G. Je suis heureux d’être là et on a tous envie de très bien faire. Je suis là à la disposition de
l’équipe. J’essaye de bien travailler aux
entraînements, d’être dans le groupe et avec l’équipe.
FRANCE-SOIR.
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