Voilà ,un Monsieur qui a pondu une bouse en reprenant ce qui se dit , surtout en interprétant à sa sauce les propos de Tiburce , qui a du mal regarder le banc lyonnais hier soir"touffe ébouriffée et barbe clairsemée".
Pourquoi faire un article sur Yoann ,à moins d'avoir envie de faire partagé la détestation manifeste qui transpire dans ses propos et ce Mr Hazam Rizir n'en est pas à son 1er essai ,où comment continuer à détruire l'image d'un garçon qui n'a comme seul tort que d'être "beau et souvent blessé " comment continuer à maintenir les "lecteurs -supporters -ou simple amateur de foot dans cette idée d'un Gourcuff asocial ,qui coûte cher et coupable ne pas jouer le "jeu star",tant prisé des médias . Ils ne leur reste que le mépris pour en parler .
La reprise des moqueries sur les réseaux sociaux montre bien le but de l'article .
Grenier a eu sa chance grâce à deux blessures successives mais je suis désolée ,malgré des conditions très favorables ,Grenier est loin de faire ce qu'à fait Yoann à Bordeaux au même âge, où il était un des moteurs et aussi très décisif!!
LIGUE 1 - Mais au fait, que devient Yoann Gourcuff ? Après un mois d'absence, l'élégant meneur de jeu effectuait son retour dans le groupe lyonnais dimanche soir contre l'OM (0-0). Mais il n'en reste pas moins porté disparu.
On a failli ne pas le reconnaître.
Pourtant c'était bien lui, touffe ébouriffée et barbe clairsemée, assis
sur le banc dimanche soir tandis que ses coéquipiers lyonnais ferraillaient contre l'OM (0-0).
Yoann Gourcuff effectuait là son énième grand retour dans le groupe de
Rémi Garde cette saison, après un énième pépin physique. Trop juste, il
est finalement resté assis, voyant son concurrent Clément Grenier entrer
en jeu à sa place. Le meneur de jeu international parviendra-t-il à
renouer le fil de son excellent début de saison avant la fin du
Championnat ? À dix journées de cette échéance, rien n'est moins sûr.
Pour mémoire, dans la foulée de
plusieurs sorties convaincantes de Gourcuff avec l'OL, le sélectionneur
Didier Deschamps avait été jusqu'à l'appeler en équipe de France
pour l'amical en Italie du 14 novembre dernier. Il a même pu jouer un
petit quart d'heure. Depuis ? Un véritable trou noir, qui l'a vu manquer toute la fin d'année 2012
quand Malbranque puis Grenier s'accaparaient la lumière des
projecteurs. Sa dernière blessure, une lésion musculaire aux adducteurs,
date du 11 février. Elle a été la goutte d'eau qui a fait déborder le
vase.
"Gourcuff est un souci"
Il faut en effet se souvenir qu'à
l'été 2010, l'OL avait déboursé 22 millions d'euros (un record à
l'époque) pour arracher le milieu offensif aux Girondins de Bordeaux. Le
club rhodanien avait alors justifié ce montant en assurant que la belle
gueule du joueur, conjuguée à son jeu gracieux, en faisait un argument
marketing imparable, susceptible de générer d'importantes recettes de
merchandising, tout en offrant à Lyon une nouvelle exposition
médiatique. Une sorte de David Beckham à la française.
Deux ans plus tard, le président
Aulas lançait un plan de rigueur pour assainir les comptes de son club.
Et les langues se délient aujourd'hui peu a peu. "C'est un garçon qui a
du talent et qui aime le foot, justifiait Rémi Garde lundi dernier sur
RTL. Il a besoin de beaucoup de confiance autour de lui, d'avoir un
environnement très favorable pour s'exprimer. A l'OL on essaye de faire
le maximum. On ne peut pas dire qu'on y arrive superbement bien." Un
mois auparavant, Bernard Lacombe, le conseiller du président, se faisait
encore plus direct : "Gourcuff est un souci."
"On lui trouve toujours des excuses"
Le problème n'est évidemment pas que
physique. Selon plusieurs voix concordantes, le meneur de jeu s'applique
à rester toujours en marge du groupe, sans parler à personne, pas même à
son entraîneur. Tant et si bien qu'il n'y a plus grand monde pour le
défendre à l'OL, où ses airs mystérieux agacent plus qu'ils
n'intriguent. Tout l'état-major lyonnais attend désormais avec
impatience la première occasion de s'en débarrasser. "Je souhaiterais
qu’il aille se forger à Arsenal, où il y a déjà une école française. Ou
alors dans un grand club espagnol. Tout le monde le lui a dit" appuyait
de son côté son grand ami, le préparateur physique Tiburce Darou.
Sauf que, quand l'Atletico Madrid,
3ème de Liga, et l'OL se mettaient d'accord sur un prêt avec option
d'achat en janvier, le joueur refusait de partir. Parce qu'il fallait
sacrifier une grosse partie des 6,8 millions d'euros annuels qu'il
touche à Lyon ? Ou par peur de disparaître pour de bon de la
circulation ? Toujours est-il que le joueur s'accroche à son club. "On
lui trouve toujours des excuses. Arrive un moment où il faut qu'il
prouve tous les jours, jugeait pour sa part l'ancien Lyonnais Grégory
Coupet en mai 2012. Mais ça veut aussi dire s’investir dans la vie du
club et du groupe... Maldini n'a allumé qu'un seul joueur dans sa vie,
c’est Gourcuff. Cela veut dire quelque chose."