un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

Coucou, à tous mes visiteurs

Ici,on parle de Yoann ,du club où il joue ,de foot,de L' OL ,de L' EDF, (et pour les autres , si vous le voulez ,on peut en parler dans les commentaires ) et bien sûr dans le respect des uns et des autres .
A LIRE: Si vous voulez que vos commentaires soient publiés :
Pas de commentaires sur" la vie
très privée" de Yoann ,ni sur des publications qui l'évoquerait sur des suppositions ,des extrapolations ou pour autre chose que le versant sportif hormis les actions en faveur d'associations ou si les infos viennent de lui par le biais d'ITW(,girondins tv,oltv ,c+,..etc ,reportages médias ou public pour des actions diverses et variées ).
Pas d'insultes ,ni de grossièretés ,ni d'allusions réprimées par la loi (raciste ,homophobes ...) SVP
Les photos ne sont pas ma propriété et dans la mesure du possible ,j'essaie de mettre le nom du photographe ou de l'agence il y a : Mrs Mouillaud ,Guiochon ,O et L ,Afp, Iconsport ,Maxxx ,OlGirzgones . ,Facebook ....Getty image .....et d'autres
J'aime le foot depuis longtemps,et je suis très heureuse d'échanger et de partager avec vous .
COCO
ps : un PSEUDO ou une INITIALE signant les com's me semble souhaitable ,c'est un minimum et cela facilite les échanges ! MERCI
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samedi 28 mars 2009

Yoann Gourcuff a la clé


Le destin du sélectionneur et de la France en Lituanie dépendra en grande partie du rendement de Yoann Gourcuff, sauveur de Domenech en octobre grâce au but égalisateur réussi en Roumanie et revenu sur le devant de la scène.
Si les Bleus et leur technicien sont toujours en vie dans la course au Mondial 2010, Gourcuff et sa frappe monumentale, réussie le 11octobre à Constanta (2-2), n'y sont pas étrangers. Aujourd'hui, le Breton est confronté au même scénario et sera particulièrement attendu lors d'un match couperet que les Bleus se doivent de remporter pour espérer être du voyage en Afrique du Sud dans un peu plus d'un an. Mais dans quel état physique et mental se trouvera-t-il à l'heure de défier les Lituaniens? La question doit sans doute hanter les nuits de Domenech, qui a eu le flair de le lancer en sélection (20août 2008 contre la Suède 3-2 en amical) avant de lui confier les clés du jeu tricolore en qualifications contre la Serbie, le 10septembre 2008 (2-1), dans un système en 4-2-3-1 taillé à sa mesure.

Contre-coup

A l'époque, le Bordelais marchait sur l'eau et la France se plaisait à pousser la comparaison avec le grand Zinédine Zidane dont il a vite été désigné comme le successeur. Mais la suite fut plus compliquée à gérer pour le Morbihannais, sollicité de toutes parts et obligé à 22 ans de se démultiplier sur tous les fronts (sélection, Ligue des champions, compétitions nationales). Le contrecoup ne s'est pas fait attendre et début 2009, c'est un joueur harassé et sur les rotules qui s'est traîné sur les terrains même si son talent et son génie ont par instants crevé l'écran comme ce 11janvier avec un but d'anthologie inscrit contre le Paris SG (4-0) en Ligue 1. L'amical contre l'Argentine de Diego Maradona, le 11février à Marseille (défaite 2-0), n'avait pas non plus dissipé les doutes, l'ancien Rennais apparaissant emprunté et incapable de prendre la mesure du milieu de terrain albiceleste. Laurent Blanc, qui fait tout pour préserver au mieux son joyau, s'était même laissé aller à une critique de la gestion de Raymond Domenech, estimant «ridicule» le fait que son joueur ait disputé l'intégralité de la rencontre.

Second souffle

Avant ce rendez-vous capital à Kaunas, la donne semble toutefois avoir évolué et Gourcuff a retrouvé un second souffle, à l'image du but splendide inscrit auHavre (3-0), samedi, juste avant le début du rassemblement de l'équipe de France à Clairefontaine. Raymond Domenech continue de le considérer comme la plaque tournante du jeu français. Malgré les incertitudes concernant certains postes en défense ou en attaque, Gourcuff est assuré d'évoluer dans sa position préférentielle, celle d'un meneur de jeu axial. Le sélectionneur a testé différentes formules cette semaine avec une seule constante: Gourcuff placé comme un nº10. Depuis son retour en France sous forme de prêt en provenance de l'AC Milan à l'été 2008, Gourcuff est passé par toutes les émotions, porté aux nues avant de connaître le premier coup de fatigue sérieux de sa jeune carrière. Le voyage en Lituanie sera une autre étape importante à franchir dans sa quête de stabilité au haut niveau. (le télégramme)

lundi 5 janvier 2009

Yoann Gourcuff : Breton de l'année 2008


Un enfant de la balle

5 janvier 2009
Le fils de l'entraîneur historique de Lorient. Le premier international breton depuis dix ans. Un symbole du rajeunissement de l'équipe de France. Avant tout cela, Yoann Gourcuff est un enfant de la balle, touché par la grâce du talent, guidé par la passion du jeu et porté par le goût de la compétition.
Un jour, il lui a fallu choisir entre le football et le tennis. La légende dit que c'est en février 1998, après sa victoire à l'Open Super 12 d'Auray, que Rafaël Nadal, onze ans et demi, opta définitivement pour le tennis. Battu au premier tour le lundi précédent, le seul Breton ayant franchi l'obstacle des qualifications était alors confronté au même dilemme. Yoann Gourcuff, plus jeune de cinq semaines que l'actuel nº 1 mondial de tennis, mit encore un an à se déterminer. Il le fit à front renversé de l'Espagnol. La pertinence des choix est une des qualités que les champions possèdent en partage.


« Il lui fallait une balle »


Quoi qu'en disent les astrologues, Yoann Gourcuff est du signe de la sphère. On peut en douter, opposer l'acquis à l'inné, évoquer l'influence extérieure, celle de l'environnement familial... Mais non, ça ne tient pas. « Son grand frère, Erwan, était plus attiré par la natation ou le vélo », se souvient Marine Thalouarn, sa maman. « Yoann, il lui fallait une balle. » La première qui ait laissé une trace dans la mémoire familiale était gigantesque pour un petit bonhomme de douze mois. C'était un ballon de foot noir et blanc formé de 32 panneaux de cuir cousus à la main, comme on les faisait alors. L'histoire remonte au siècle dernier. Une autre époque. Un temps où les familles participaient aux stages d'avant-saison. Un temps où les étés bretons étaient si chauds que les équipes de l'Ouest prenaient la direction des montagnes.


« Il était déjà précis »


Christian Gourcuff, entraîneur-joueur du Mans, avait emmené sa troupe à Morbier, dans le Jura. Tandis que les footballeurs « footballaient », les enfants batifolaient dans l'herbe grasse. Le petit Yoann, dans les parages immédiats de son premier anniversaire, poursuivait « à quatre pattes », un des ballons d'entraînement. Une main puis deux sur la grosse boule de cuir et il se redressa. Ce furent ses premiers pas. Balle au pied. Au fil des années, le ballon rétrécit. Sept ans plus tard, il était devenu un compagnon docile pour le petit garçon qui accompagnait son papa lors des entraînements d'un FC Lorient semi-professionnel. « Il était toujours derrière le but à jouer avec un ballon », se souvient Christophe Le Roux, le leader de l'équipe à l'époque. « Souvent, il adressait quelques frappes à Philippe Schuth, notre gardien. A la fin des entraînements, nous nous faisions parfois des passes. Il était passionné, il vivait pour le foot. » En désignant le petit muret jouxtant sa maison, sa maman esquisse un large sourire. « Il passait des heures à taper sur ce mur. C'était un besoin chez lui de shooter dans le ballon. » Ni les fleurs, ni les carreaux du voisinage ne s'en souviennent, car « il était déjà précis ». Ces exercices solitaires n'étaient qu'un pis-aller destiné à meubler entre deux matchs. Ceux joués dans la cour de l'école Lomener-kerroch, où la directrice Monique Nedelec n'a pas oublié ce garçon « au-dessus du lot mais pas personnel » ; ceux disputés dans les équipes du FC Lorient, où il a commencé à cinq ans en débutants, sans licence puisqu'on ne les délivrait déjà qu'à six.


« On peut remercier le grand-père de Diego »


Et puis, surtout, les « deux-deux » disputés avec ses copains de toujours, et d'aujourd'hui encore, Benjamin Perron, Dimitri Le Grand et Diego Yesso, dans la propriété du grand-père de ce dernier. Les arbres du parc se souviennent qu'il y avait du talent au mètre carré : tous ont joué au minimum en CFA 2 et deux d'entre eux ont été professionnels. « On peut remercier le grand-père de Diego, qui les invitait toutes les semaines. C'est peut-être lui qui a déclenché sa vocation », ose la maman. Peut-être remercier Diego lui-même, qui précéda son copain au Centre de préformation de Ploufragan (Côtes-d'Armor) en faveur duquel le petit Yoann se détermina lorsqu'il dut choisir entre la petite et la grosse balle. Les profs de tennis du Creps de Poitiers ne le verront jamais arriver.(le télégramme)

dimanche 4 janvier 2009

Yoann Gourcuff sportif breton de l'année

Yoann Gourcuff sportif breton de l'année


Sportif breton de l'année. Le meneur de jeu des Girondins de Bordeaux succède au palmarès à Laëtitia Le Corguillé.

Le championnat de Ligue 1 s'était étiré jusqu'au 23 décembre et un ultime déplacement (victorieux) des Girondins à Toulouse. Dans la foulée, Yoann Gourcuff a éprouvé le besoin de souffler. Loin de Bordeaux, loin de Lorient, loin du foot. Loin de tout. Une petite semaine de vacances, de break et de récupération en Thaïlande.

La remise du trophée de sportif breton de l'année, décerné par les journalistes sportifs bretons de la rédaction d'Ouest-France, s'est effectuée hier au domicile de son père Christian, le coach du FC Lorient, pas très loin de là où Yoann a chaussé ses premiers crampons. Il succède ainsi à Laëtitia Le Corguillé, vice-championne olympique de BMX à Pékin.

« C'est le plaisir qui a guidé ma saison. » Plus qu'un palmarès 2009 en béton armé, Yoann Gourcuff met en avant la passion et le bonheur qui l'ont accompagné douze mois durant. « Et tant qu'il y aura ce plaisir, les résultats devraient suivre ... » Avec Bordeaux d'abord, avec les Bleus ensuite, « si je suis sélectionné ».

Lentement mais sûrement. Patiemment mais avec talent. Il y a un an, les journalistes bretons de la rédaction sportive d'Ouest-France avaient placé Yoann Gourcuff sur la seconde marche des sportifs bretons de l'année. Une titularisation fracassante face à la Serbie en septembre 2008 avait marqué les esprits. Puis un an durant, le meneur de jeu des Girondins de Bordeaux n'a cessé de marquer les esprits. De confirmer match après match, tant en sélection qu'en club, tant en Ligue 1 que sur la scène européenne.

Yoann Gourcuff, en 2009, s'est aussi bâti un palmarès des plus enviables : le championnat de France de Ligue 1, la Coupe de la Ligue (face à Vannes, 4-0) et le Trophée des champions (face à Guingamp, 2-0). Individuellement, il a remporté l'Oscar du meilleur joueur de Ligue 1 2008-2009 (élu par les autres joueurs du championnat), le titre de footballeur français de l'année 2009 attribué par le bi-hebdomadaire France-Football.N'en jetez plus. Tiens ! Il aura 24 ans le 11 juillet prochain, jour de la finale de la Coupe du monde.

mercredi 28 décembre 2005

Yoann Gourcuff: elu meilleur espoir par le Télégramme:souvenir

Meilleur espoir Yoann Gourcuff s'est fait un prénom
Yoann Gourcuff: elu meilleur espoir par le Télégramme « Meilleur espoir du Télégramme ? Cool ! » S'il n'est plus tout à fait un gamin comme un autre, qu'il gagne déjà sa vie et attire les regards, Yoann Gourcuff, 19 ans, footballeur au Stade Rennais, a les mots de son âge. En lui, il a également le potentiel d'un réel « espoir » du foot breton. Au moins.
« Humphhh ». On est en fin d'entretien, mais l'attitude de Yoann Gourcuff, ce mélange de sourire et de moue, ne trompe pas. Il attendait la question. « En tout cas, ça n'a pas été un plus ». On parle de son nom, donc de celui d'un entraîneur connu. « Ça a même été difficile quand je jouais à Lorient en jeunes alors qu'il était l'entraîneur du club. Des parents de joueurs disaient que j'étais pistonné et ça m'a fait un peu de mal. Ensuite, à Rennes, c'était également dur d'entendre les critiques sur son père. En plus, souvent, ce qui se disait n'était pas vrai. Ça a également été dur d'apprendre son licenciement par la presse. J'aurais préféré l'apprendre par lui, mais il n'était pas au courant ». Ainsi va la vie du football et Yoann Gourcuff en connaît déjà bien des aspects pour être tombé dedans tout petit. Footballeur par son père et basketteur par sa mère, il aurait pourtant pu virer tennisman, tant il semblait doué. Il fit définitivement le choix à 13 ans, en préférant la structure fédérale sport-études de Ploufragan à celle de Poitiers (tennis) qui le convoitait également. Depuis, celui qui n'était pas véritablement au-dessus du lot chez les moins de 13 ans du FC Lorient - il jouait alors attaquant - n'a cessé de progresser. Au point d'avoir pris racine en équipe de France jeunes dès l'âge de 16 ans.
Titulaire et buteur
Avec l'équipe des 19 ans, entraînée par Jean Gallice, il est devenu champion d'Europe en Irlande l'été dernier. « Un très bon souvenir » au sein d'une équipe dont il est le seul à avoir gagné depuis des galons de titulaire en Ligue 1. Car bien davantage que ce titre européen en bleu, la performance du jeune Lorientais est dans son affirmation en rouge et noir depuis le début de la saison. Seul Etienne Didot a joué davantage de matches. Et après un début de saison marqué par des rentrées encourageantes, il a gagné sa place en octobre et l'a conservée après le retour de Kallstrom. « J'ai pris davantage confiance et j'arrive à mieux gérer mes efforts, à savoir quand la garder et quand jouer à une touche de balle ». Il a aussi inscrit trois buts depuis le début de la saison, ce qui, pour un milieu de terrain de son âge, est plutôt pas mal. Son avenir ? Plus d'un club européen courtise déjà ce jeune espoir dont le contrat expire en juin 2007. « Je sais que j'ai encore tout à prouver », tempère l'intéressé, qui baigne depuis suffisamment longtemps dans le milieu du foot pour savoir que parmi les espoirs ceux qui confirment ne sont pas majoritaires.(via gourcuffenforce :un skyblog)