un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

Coucou, à tous mes visiteurs

Ici,on parle de Yoann ,du club où il joue ,de foot,de L' OL ,de L' EDF, (et pour les autres , si vous le voulez ,on peut en parler dans les commentaires ) et bien sûr dans le respect des uns et des autres .
A LIRE: Si vous voulez que vos commentaires soient publiés :
Pas de commentaires sur" la vie
très privée" de Yoann ,ni sur des publications qui l'évoquerait sur des suppositions ,des extrapolations ou pour autre chose que le versant sportif hormis les actions en faveur d'associations ou si les infos viennent de lui par le biais d'ITW(,girondins tv,oltv ,c+,..etc ,reportages médias ou public pour des actions diverses et variées ).
Pas d'insultes ,ni de grossièretés ,ni d'allusions réprimées par la loi (raciste ,homophobes ...) SVP
Les photos ne sont pas ma propriété et dans la mesure du possible ,j'essaie de mettre le nom du photographe ou de l'agence il y a : Mrs Mouillaud ,Guiochon ,O et L ,Afp, Iconsport ,Maxxx ,OlGirzgones . ,Facebook ....Getty image .....et d'autres
J'aime le foot depuis longtemps,et je suis très heureuse d'échanger et de partager avec vous .
COCO
ps : un PSEUDO ou une INITIALE signant les com's me semble souhaitable ,c'est un minimum et cela facilite les échanges ! MERCI
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lundi 25 mai 2009

Le milieu de terrain de Bordeaux a été élu meilleur joueur de Ligue 1


Yoann Gourcuff semble avoir un bel avenir qui se profile. A 22 ans, le meneur de jeu de Bordeaux et de l'équipe de France, a été élu meilleur joueur du Championnat par ses pairs lors de la 18e édition des trophées de l'Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP).

Toujours plus haut! Voilà ce qui a certainement été le leitmotiv de Yoann Gourcuff tout au long de la saison footballistique 2008-2009. Le meneur de jeu de Bordeaux et de l'équipe de France a été élu par ses pairs meilleur joueur de Ligue 1 dimanche soir, lors de la 18e édition des trophées de l'Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP), qui a également distingué Eric Gerets (Marseille) comme meilleur entraîneur et Hugo Lloris (Lyon) comme meilleur gardien de but.
A tout juste 22 ans, celui que l’on compare déjà au grand Zinedine Zidane a marqué 12 buts en 36 matches de championnat cette saison et a été un élément crucial dans l'ascension de son équipe à la première place du classement de L1.
A une journée de la fin de la saison, Bordeaux, qui compte trois points d'avance sur son dauphin Marseille, est très bien placé pour remporter son premier titre de champion de Ligue 1 depuis 1999.
Le chouchou de Laurent Blanc succède au palmarès à l'attaquant lyonnais Karim Benzema. Il était en concurrence avec le Lillois Michel Bastos, le Toulousain André-Pierre Gignac et Stéphane Sessegnon du Paris Saint-Germain: «Je tiens à remercier mon coach Laurent Blanc, c'est lui qui m'a fait venir à Bordeaux, sa philosophie de jeu fait que j'arrive à m'épanouir dans cette équipe, je lui dois beaucoup.
J'ai pris beaucoup de plaisir avec cette équipe», a déclaré le joueur, qui est actuellement prêté aux Girondins par le Milan AC.
Et le jeune espoir du football français de renchérir: « Après, d'une saison à l'autre, tout peut arriver. Les gens qui s'occupent de moi sont en train de voir ça. J'aimerais bien rester à Bordeaux, après il faut se mettre d'accord.»
Un accord que les dirigeants bordelais vont devoir trouver rapidement si ils ne veulent pas voir leur petit prodige se transformer en étoile filante…
(gala)

lundi 5 janvier 2009

Yoann Gourcuff : Breton de l'année 2008


Un enfant de la balle

5 janvier 2009
Le fils de l'entraîneur historique de Lorient. Le premier international breton depuis dix ans. Un symbole du rajeunissement de l'équipe de France. Avant tout cela, Yoann Gourcuff est un enfant de la balle, touché par la grâce du talent, guidé par la passion du jeu et porté par le goût de la compétition.
Un jour, il lui a fallu choisir entre le football et le tennis. La légende dit que c'est en février 1998, après sa victoire à l'Open Super 12 d'Auray, que Rafaël Nadal, onze ans et demi, opta définitivement pour le tennis. Battu au premier tour le lundi précédent, le seul Breton ayant franchi l'obstacle des qualifications était alors confronté au même dilemme. Yoann Gourcuff, plus jeune de cinq semaines que l'actuel nº 1 mondial de tennis, mit encore un an à se déterminer. Il le fit à front renversé de l'Espagnol. La pertinence des choix est une des qualités que les champions possèdent en partage.


« Il lui fallait une balle »


Quoi qu'en disent les astrologues, Yoann Gourcuff est du signe de la sphère. On peut en douter, opposer l'acquis à l'inné, évoquer l'influence extérieure, celle de l'environnement familial... Mais non, ça ne tient pas. « Son grand frère, Erwan, était plus attiré par la natation ou le vélo », se souvient Marine Thalouarn, sa maman. « Yoann, il lui fallait une balle. » La première qui ait laissé une trace dans la mémoire familiale était gigantesque pour un petit bonhomme de douze mois. C'était un ballon de foot noir et blanc formé de 32 panneaux de cuir cousus à la main, comme on les faisait alors. L'histoire remonte au siècle dernier. Une autre époque. Un temps où les familles participaient aux stages d'avant-saison. Un temps où les étés bretons étaient si chauds que les équipes de l'Ouest prenaient la direction des montagnes.


« Il était déjà précis »


Christian Gourcuff, entraîneur-joueur du Mans, avait emmené sa troupe à Morbier, dans le Jura. Tandis que les footballeurs « footballaient », les enfants batifolaient dans l'herbe grasse. Le petit Yoann, dans les parages immédiats de son premier anniversaire, poursuivait « à quatre pattes », un des ballons d'entraînement. Une main puis deux sur la grosse boule de cuir et il se redressa. Ce furent ses premiers pas. Balle au pied. Au fil des années, le ballon rétrécit. Sept ans plus tard, il était devenu un compagnon docile pour le petit garçon qui accompagnait son papa lors des entraînements d'un FC Lorient semi-professionnel. « Il était toujours derrière le but à jouer avec un ballon », se souvient Christophe Le Roux, le leader de l'équipe à l'époque. « Souvent, il adressait quelques frappes à Philippe Schuth, notre gardien. A la fin des entraînements, nous nous faisions parfois des passes. Il était passionné, il vivait pour le foot. » En désignant le petit muret jouxtant sa maison, sa maman esquisse un large sourire. « Il passait des heures à taper sur ce mur. C'était un besoin chez lui de shooter dans le ballon. » Ni les fleurs, ni les carreaux du voisinage ne s'en souviennent, car « il était déjà précis ». Ces exercices solitaires n'étaient qu'un pis-aller destiné à meubler entre deux matchs. Ceux joués dans la cour de l'école Lomener-kerroch, où la directrice Monique Nedelec n'a pas oublié ce garçon « au-dessus du lot mais pas personnel » ; ceux disputés dans les équipes du FC Lorient, où il a commencé à cinq ans en débutants, sans licence puisqu'on ne les délivrait déjà qu'à six.


« On peut remercier le grand-père de Diego »


Et puis, surtout, les « deux-deux » disputés avec ses copains de toujours, et d'aujourd'hui encore, Benjamin Perron, Dimitri Le Grand et Diego Yesso, dans la propriété du grand-père de ce dernier. Les arbres du parc se souviennent qu'il y avait du talent au mètre carré : tous ont joué au minimum en CFA 2 et deux d'entre eux ont été professionnels. « On peut remercier le grand-père de Diego, qui les invitait toutes les semaines. C'est peut-être lui qui a déclenché sa vocation », ose la maman. Peut-être remercier Diego lui-même, qui précéda son copain au Centre de préformation de Ploufragan (Côtes-d'Armor) en faveur duquel le petit Yoann se détermina lorsqu'il dut choisir entre la petite et la grosse balle. Les profs de tennis du Creps de Poitiers ne le verront jamais arriver.(le télégramme)

mercredi 28 décembre 2005

Yoann Gourcuff: elu meilleur espoir par le Télégramme:souvenir

Meilleur espoir Yoann Gourcuff s'est fait un prénom
Yoann Gourcuff: elu meilleur espoir par le Télégramme « Meilleur espoir du Télégramme ? Cool ! » S'il n'est plus tout à fait un gamin comme un autre, qu'il gagne déjà sa vie et attire les regards, Yoann Gourcuff, 19 ans, footballeur au Stade Rennais, a les mots de son âge. En lui, il a également le potentiel d'un réel « espoir » du foot breton. Au moins.
« Humphhh ». On est en fin d'entretien, mais l'attitude de Yoann Gourcuff, ce mélange de sourire et de moue, ne trompe pas. Il attendait la question. « En tout cas, ça n'a pas été un plus ». On parle de son nom, donc de celui d'un entraîneur connu. « Ça a même été difficile quand je jouais à Lorient en jeunes alors qu'il était l'entraîneur du club. Des parents de joueurs disaient que j'étais pistonné et ça m'a fait un peu de mal. Ensuite, à Rennes, c'était également dur d'entendre les critiques sur son père. En plus, souvent, ce qui se disait n'était pas vrai. Ça a également été dur d'apprendre son licenciement par la presse. J'aurais préféré l'apprendre par lui, mais il n'était pas au courant ». Ainsi va la vie du football et Yoann Gourcuff en connaît déjà bien des aspects pour être tombé dedans tout petit. Footballeur par son père et basketteur par sa mère, il aurait pourtant pu virer tennisman, tant il semblait doué. Il fit définitivement le choix à 13 ans, en préférant la structure fédérale sport-études de Ploufragan à celle de Poitiers (tennis) qui le convoitait également. Depuis, celui qui n'était pas véritablement au-dessus du lot chez les moins de 13 ans du FC Lorient - il jouait alors attaquant - n'a cessé de progresser. Au point d'avoir pris racine en équipe de France jeunes dès l'âge de 16 ans.
Titulaire et buteur
Avec l'équipe des 19 ans, entraînée par Jean Gallice, il est devenu champion d'Europe en Irlande l'été dernier. « Un très bon souvenir » au sein d'une équipe dont il est le seul à avoir gagné depuis des galons de titulaire en Ligue 1. Car bien davantage que ce titre européen en bleu, la performance du jeune Lorientais est dans son affirmation en rouge et noir depuis le début de la saison. Seul Etienne Didot a joué davantage de matches. Et après un début de saison marqué par des rentrées encourageantes, il a gagné sa place en octobre et l'a conservée après le retour de Kallstrom. « J'ai pris davantage confiance et j'arrive à mieux gérer mes efforts, à savoir quand la garder et quand jouer à une touche de balle ». Il a aussi inscrit trois buts depuis le début de la saison, ce qui, pour un milieu de terrain de son âge, est plutôt pas mal. Son avenir ? Plus d'un club européen courtise déjà ce jeune espoir dont le contrat expire en juin 2007. « Je sais que j'ai encore tout à prouver », tempère l'intéressé, qui baigne depuis suffisamment longtemps dans le milieu du foot pour savoir que parmi les espoirs ceux qui confirment ne sont pas majoritaires.(via gourcuffenforce :un skyblog)