un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

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mercredi 14 novembre 2012

L'éternel retour de Yoann Gourcuff



Yoann Gourcuff, le 12 novembre à Clairefontaine (Yvelines), la "maison des Bleus"

Le Monde.fr |



On pensait que son histoire avec les Bleus avait de nouveau pris du plomb dans l'aile lors de sa non-sélection à l'Euro 2012, mais quatre mois seulement après sa dernière sélection, le 27 mai, face à l'Islande, Yoann Gourcuff a retrouvé le charme bucolique du centre d'entraînement de Clairefontaine, dans les Yvelines. A peine revenu d'une blessure au genou en début de saison, le milieu de terrain de l'Olympique lyonnais, star flamboyante puis déchue du football hexagonal, a été le premier surpris par son rappel en équipe de France, qui doit  affronter l'Italie en match amical, mercredi 14 novembre à Parme. "J'ai d'abord pensé à bien me  soigner puis à bien m'entraîner et enfin à bien jouer .Je ne m'attendais pas à être sélectionné si vite après mon retour à la compétition", a-t-il reconnu devant la presse, lundi 12 novembre. Etait attendu à sa place son coéquipier Steed Malbranque, ressuscité à l'âge de 32 ans. "J'ai un passé ici et quelques sélections, a toutefois rappelé Yoann Gourcuff aux sceptiques. Ça me fait plaisir de  revenir au château de Clairefontaine", et de retrouver ceux qu'il désigne comme des "collègues".(ben c'est ce qu'ils sont !!)

La décision de le réintégrer dans le groupe, rendue publique le 8 novembre, a été prise par Didier Deschamps, ce qui coupe court au procès de favoritisme dont Yoann Gourcuff fut régulièrement l'objet. En fait, l'annonce a pris de court non seulement l'intéressé, 26 ans et 29 sélections, mais l'ensemble des observateurs qui pensaient que Laurent Blanc, prédécesseur de Deschamps à la tête de la sélection, s'était enfin rangé à la raison le 29 mai. Ce jour-là, trois joueurs présélectionnés quittaient Clairefontaine la tête basse. Ils ne partiraient pas pour l'Ukraine pour l'Euro. Après avoir tout fait pour lui redonner confiance (le protéger, persiflèrent les mauvaises langues), Laurent Blanc décidait de se séparer de celui qui fut son brillant meneur de jeu aux Girondins de Bordeaux, champion de France en 2009. "Le fait de ne pas aller à l'Euro était une décision du staff de l'époque. A partirdu moment où les choix avaient été faits, il fallait les respecter", s'est à nouveau incliné le Breton, garçon bien éduqué et peu contestataire (évidemment ,il pleure pas comme Evra en conf' ) . Il a balayé d'un revers de main toute idée de statut particulier : "Tous les sélectionnés sont privilégiés. On l'est tous quand on est appelés. Il faut prendre conscience de la chance qu'on a. Je veux juste en profiter."
PAS UN HÉROS

Didier Deschamps n'encourt pas les reproches hier adressés à Laurent Blanc. Sa relation à Yoann Gourcuff est neutre, strictement professionnelle. "J'ai envie de le voir dans le groupe avant les échéances importantes qui nous attendent l'année prochaine, a justifié le Basque, dans une allusion directe à la deuxième phase des éliminatoires de la Coupe du monde 2014. C'est surtout un joueur créatif. Il a cette faculté à faire bien jouer les autres. Quand il est dans de bonnes dispositions comme à l'heure actuelle, c'est un élément qui peut être important pour le collectif."
Yoann Gourcuff a joué de malchance depuis son transfert de Bordeaux à Lyon, à l'été 2010. La somme déboursée, 22 millions d'euros (auxquels s'ajoutent 4,5 millions d'euros) est la plus élevée jamais atteinte en Ligue 1 pour une transaction interne. Quinze mille spectateurs se déplacent au stade de Gerland pour ovationner la nouvelle recrue à laquelle ses coéquipiers réservent une haie d'honneur.(faux ) "A mon arrivée à l'OL, on m'a accueilli en héros. Je n'étais pas préparé à cet engouement, déclarait Yoann Gourcuff au Monde en octobre 2011. Je suis quelqu'un de collectif, je n'allais pas faire la différence individuellement. On m'a pointé du doigt."
Son salaire à Bordeaux, déjà vertigineux puisqu'il était estimé à 310 000 euros mensuels, bondit à près de 500 000 euros,(faux) ce qui fait de lui le joueur français le plus confortablement rémunéré de Ligue 1. Mais c'est peu direque celui qui a choisi le numéro 29 pour rendre hommage au Finistère de ses origines ne justifie pas ses émoluments sur la pelouse. Il tarde à trouver ses marques, ne pèse pas sur le jeu, attend la neuvième journée pour inscrire son premier but et se blesse à la fin de novembre, (il est blessé par un abruti de Skalke )avant de revenir en février 2011. Son bilan est famélique : trois buts inscrits lors de sa première saison, réduits à deux l'année suivante. L'exercice 2011-2012 est son annus horribilis : il passe la majeure partie de la saison soit à l'infirmerie, soit sur le banc de touche, encore convalescent ou fragile.
"UN TRÈS BEL AMI"
Yoann Gourcuff pense en avoir fini avec la guigne à l'été 2012. Il commence le championnat tambour battant, apparemment revenu à son meilleur niveau. Las, il se blesse au genou dès le 19 août et se rend indisponible pour plus de deux mois. Sa capacité actuelle est donc un mystère. Il a repris la compétition il y a moins de deux semaines et n'a disputé que quatre matches de Ligue 1 avec son club. Six au total, en ajoutant la Coupe de France et surtout la Ligue Europa, où il s'est montré à son avantage le 8 novembre sur la pelouse de l'Athletic Bilbao en adressant sur coup franc le ballon qui a permis à Batefimbi Gomis d'ouvrir le score de la tête, avant de doubler lui-même la mise. Cette victoire (3-2) a qualifié les Lyonnais pour les seizièmes de finale de cette compétition. Il était difficile de ne pas faire le lien entre son étincelante prestation et l'annonce, quelques heures plus tôt, de sa réintégration dans le groupe France. ( idée pourrie s'il en est ,il ne parle même pas de Bastia)

  • Constanta, Roumanie, 11 octobre 2008. Pour sa deuxième titularisation, le Breton sauve la tête de Raymond Domenech, sélectionneur en sursis, en arrachant l'égalisation (2-2) face aux Roumains, lors des éliminatoires de l'Euro. Sa frappe de 35 mètres sous la barre transversale a ravi les esthètes. A l'époque, sa complémentarité avec Franck Ribéry paraît très prometteuse.
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Crédits : AP/FRANCOIS MORI
Constanta, Roumanie, 11 octobre 2008. Pour sa deuxième titularisation, le Breton sauve la tête de Raymond Domenech, sélectionneur en sursis, en arrachant l'égalisation (2-2) face aux Roumains, lors des éliminatoires de l'Euro. Sa frappe de 35 mètres sous la barre transversale a ravi les esthètes. A l'époque, sa complémentarité avec Franck Ribéry paraît très prometteuse.
Batefimbi Gomis, lui aussi sélectionné, n'a pas tari d'éloges concernant son partenaire de club : "Je le vois au quotidien. Il travaille beaucoup, il a fait pas mal d'efforts pour revenir  Il m'a donné pas mal de passes décisives ces temps-ci, je peux en témoigner. Cela va lui faire du bien de sortir du contexte lyonnais, de fréquenter des personnes qu'il n'a pas vues depuis un petit moment. Depuis le départ de certains cadres, " Yo " fait partie des joueurs qui ont le plus d'expérience. Ce qui fait de lui un joueur qui peut prendre la parole. Il pense toujours collectif. C'est important d'avoir un coéquipier pas égoïste. Je le sens plus épanoui dans sa vie d'homme, au club. C'est un bon coéquipier et un très bel ami."
LIBRE DANS SA TÊTE
Comme Laurent Blanc avant lui, Didier Deschamps tente un pari. Car Gourcuff, de son propre aveu, n'est "pas à cent pour cent" : "J'ai encore des douleurs sur certains mouvements, mais c'est normal d'avoir des séquelles. Je pense encore à ma blessure lorsqu'il y a une petite gêne. Mais quand je suis bien chaud, il n'y a plus de souci." Et de former un vœu : "Je touche du bois pour que mon corps me laisse tranquille." Et pas seulement son corps. La personnalité de ce joueur discret, effacé et peu disert a d'abord charmé les médias, qui sont allés jusqu'à invoquer les mânes de Zinédine Zidane avant un retour de bâton brutal. La cassure psychologique se produisit lors du fiasco des Bleus au mondial sud-africain, en 2010, qui se termine pour lui par un carton rouge face au pays hôte. L'ambiance du vestiaire, délétère, aboutira à l'"affaire Anelka" et au rocambolesque mouvement de grève des joueurs. Le cas Gourcuff est examiné à la loupe : on le dit isolé, détesté par ses coéquipiers jaloux de son statut de "chouchou". Lorsque la ministre des sports Roselyne Bachelot évoque des "gamins apeurés" commandés par des "caïds immatures", Yoann Gourcuff est sitôt rangé dans la première catégorie et Frank Ribéry dans la seconde. Une chaîne de télévision rapporte que les deux hommes se seraient battus dans l'avion après l'humiliante défaite face au Mexique (0-2). Le centre de presse de Knysna bruit de rumeurs invraisemblables, d'humiliants sévices qu'aurait infligés l'ignoble Ribéry au pauvre Gourcuff. "Il n'y a jamais eu d'altercation entre nous. Tout ça a été inventé", a tenu à préciser lundi la victime imaginaire.
Gourcuff, de nouveau libre dans sa tête ? "Il y a un environnement, que ce soit au club ou à l'extérieur, qui fait que j'ai plus de tranquillité. On cherche moins de problèmes me concernant", s'est-il félicité. Le voilà en tout cas débarrassé d'un poids : l'avant-centre tatoué Olivier Giroud, auteur du but égalisateur contre l'Espagne (1-1) le 16 octobre l'a remplacé dans le rôle du beau gosse, la gravure de mode qui fait chavirer le cœur des jeunes femmes et les rédactions des magazines gays. C'est désormais lui le produit d'appel retenu par la Fédération française de football pour l'image des Bleus. Et Gourcuff ne doit pas s'en plaindre

5 commentaires:

  1. Les merdias ne lui font pas de cadeau. Comment peut il supporter toute cette mauvaise foi cette
    mesquinerie ? A cause de leur petitesse de leur bêtise Yoann sera obligé d'aller à l'étranger et
    au final les perdants ce seront nous ses supporters. J'en veux énormément à cette triste corporation.

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  2. MERCI pour ce blog très bien documenté. Les merdias se font du fric sur son dos et comme le dit
    le poste précédent à cause d'eux il partira et les perdants seront ses supporters français. L'authen
    ticité la simplicité la droiture ne leur convient pas ce qui plaît à ces journaleux c'est le bling
    bling la beaufitude. Triste époque.

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  3. Oui Yoann a eu droit à sa conférence de presse, Hugo lui a été protégé DD sachant qu'il allait être interpeller sur son statut de remplaçant lui a évité tout souci, à se demander si le soudain rappel de Yoann n'est pas comme d'habitude "l'arbre qui cache la foret". Lui prends les coups et les autres sont peinards. F

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  4. Les perdants seront NOUS ces supporters mais aussi les Merdias. Ils vont devoir se trouver une nouvelle tête de turc, et après ils seront là a pleurnicher parce que tout nos talents partent à l'étranger. Regarde ce que la presse fait à nos talents, Ben Arfa, Gourcuff, Gignac...tu m'étonnes qu'il ai juste envie de se casser.

    Je dis ça, je dis rien.

    Bisous


    So

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  5. Le Monde, Tf1, le Parisien etc etc??? Mais wtf ? Faudra m'expliquer pourquoi autant d'articles pour un mec qui est remplaçant et pas certain de jouer. Bon je connais la raison mais quand même c'est fou pour un gus qui soi disant n'est plus grand chose...et toujours des considérations extrasportives. C'est fou de victime il est devenu problème, problèmes imaginaires, des joueurs sélectionnés c'est lui et lui seul qui porte la menace d'un retour de Kysna alors que dans l'histoire il n'a rien fait. Qu'est ce que j'en ai marre d'entendre qu'il est nuisible pour un groupe lui qui est si collectif. J'aurai aimé d'ailleurs qu'il soit plus ferme en conf à ce sujet. D'ailleurs au passage, la conf c'est un passage obligé pour les nouveaux sélectionnés.

    Visiblement Deschamps veut installer Valbuena en 10 et vu qu'il vient de marquer un beau but je crois que Yoann va devoir attendre. A moins que...

    L.

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