24/11/2010 - 13 h 45
A quelques heures de la rencontre face à Schalke 04, Yoann Gourcuff est revenu sur son début de saison à l'Olympique Lyonnais. L'occasion pour lui de commenter les critiques et d'annoncer que le meilleur est à venir.
« Il est très content d’être à Lyon et c’est sur la durée qu’il va s’installer ». Au cas où les supporters lyonnais avaient des doutes, Christian Gourcuff les a rassurés. Son fils se sent bien à l’OL et il va devenir un joueur phare de l’équipe. L’analyse est forcément optimiste mais elle est partagée par Yoann lui-même. En marge de la rencontre face à Schalke 04 pour le compte de la Ligue des Champions, le meneur de jeu des Rhodaniens a effectué un premier bilan de son parcours lyonnais. Et il en profite pour annoncer que l’OL n’a pas encore vu le vrai Gourcuff.
« J’ai été remarquablement bien accueilli. Il a fallu s’adapter à l’équipe. Moi, j’ai besoin de l’équipe, du collectif pour m’exprimer, pour prendre du plaisir. Mon jeu s’en ressent forcément, d’autant que je ne suis pas arrivé à mon meilleur niveau de forme sans que ce soit une question de fatigue. J’ai l’habitude d’enchainer les rencontres depuis deux saisons. Mais je n’ai pas été d’accord avec les journalistes sur l’analyse de mes performances. Elles n’étaient pas soit bonnes, soit mauvaises comme ils pouvaient le dire, l’écrire… Il n’y a pas eu de hauts et de très bas… Une chose est sûre, on n’a pas encore vu le vrai Gourcuff », affirme-t-il. Sur le plan statistique, le bilan n’est pas encore réjouissant mais il s’est nettement amélioré. Auteur de deux buts toutes compétitions confondues, il en est à 4 passes décisives en L1.
Toutefois, Gourcuff ne veut pas attacher trop d’importance aux chiffres. « Cela peut pousser à être égoïste. Il n’y a pas que les buts et les passes. Il y a aussi une course pour déstabiliser l’adversaire… il y a les passes qui créent des décalages… Moi, je ne suis pas un joueur qui élimine un adversaire en un contre un… », admet-il. Après trois mois, il reste obsédé par l’entente avec ses partenaires sur le terrai, peu importe le schéma mis en place par Claude Puel. « Je peux jouer dans différentes organisations comme je le faisais déjà à Bordeaux avec notamment un milieu en losange. Après, c’est surtout du travail à l’entrainement pour avoir des repères avec ses partenaires… », explique-t-il. A voir la deuxième période face à Lens, Gourcuff est bien l’homme capable de donner du liant à une formation lyonnaise en quête d’identité de jeu. S’il admet ne pas être encore flamboyant, il semble être sur le bon chemin.
« J’ai été remarquablement bien accueilli. Il a fallu s’adapter à l’équipe. Moi, j’ai besoin de l’équipe, du collectif pour m’exprimer, pour prendre du plaisir. Mon jeu s’en ressent forcément, d’autant que je ne suis pas arrivé à mon meilleur niveau de forme sans que ce soit une question de fatigue. J’ai l’habitude d’enchainer les rencontres depuis deux saisons. Mais je n’ai pas été d’accord avec les journalistes sur l’analyse de mes performances. Elles n’étaient pas soit bonnes, soit mauvaises comme ils pouvaient le dire, l’écrire… Il n’y a pas eu de hauts et de très bas… Une chose est sûre, on n’a pas encore vu le vrai Gourcuff », affirme-t-il. Sur le plan statistique, le bilan n’est pas encore réjouissant mais il s’est nettement amélioré. Auteur de deux buts toutes compétitions confondues, il en est à 4 passes décisives en L1.
Toutefois, Gourcuff ne veut pas attacher trop d’importance aux chiffres. « Cela peut pousser à être égoïste. Il n’y a pas que les buts et les passes. Il y a aussi une course pour déstabiliser l’adversaire… il y a les passes qui créent des décalages… Moi, je ne suis pas un joueur qui élimine un adversaire en un contre un… », admet-il. Après trois mois, il reste obsédé par l’entente avec ses partenaires sur le terrai, peu importe le schéma mis en place par Claude Puel. « Je peux jouer dans différentes organisations comme je le faisais déjà à Bordeaux avec notamment un milieu en losange. Après, c’est surtout du travail à l’entrainement pour avoir des repères avec ses partenaires… », explique-t-il. A voir la deuxième période face à Lens, Gourcuff est bien l’homme capable de donner du liant à une formation lyonnaise en quête d’identité de jeu. S’il admet ne pas être encore flamboyant, il semble être sur le bon chemin.
Aurélien Léger-Moëc foot mercato
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