FOOTBALL - Très critiqué ces derniers mois, le Breton a marqué le but de la victoire...
Il est encore trop tôt pour parler de déclic. Lui même ne le sait pas. «On verra». Yoann Gourcuff est resté mesuré au moment de commenter son but victorieux inscrit en fin de match devant Montpellier, trois minutes à peine après son entrée en jeu. «C'est bien, c'est sympa. Ce n'était pas évident de rentrer dans ce contexte, juste après l'égalisation.» Ca l'était encore moins de rester sur le banc de touche au coup d'envoi. «J'étais forcément un peu déçu», admet-il. Mais le scénario du match et son issu lui ont procuré beaucoup d'émotions. «C'était fort de voir tous mes coéquipiers venir me féliciter.»
«Il a pris le taureau par les cornes»
Yoann Gourcuff a eu l'immense mérite d'être présent au bon endroit, au bon moment, pour réceptionner la remise de Lisandro et faire chavirer le public de Gerland dont une partie l'avait chahuté lors de la présentation des équipes, puis au moment de son entrée en jeu à la place de Bafétimbi Gomis. En revanche, impossible de juger le niveau de jeu du meneur de l'OL et des Bleus qui avait confié avoir perdu de sa spontanéité, trois jours auparavant, sur le plateau du Canal Football Club. «Ce n'est pas en quatre minutes que j'ai pu la retrouver», souligne-t-il. «Il est bien rentré, avec beaucoup d'envie», note Claude Puel qui voit dans la réussite de l'ancien bordelais «une certaine normalité, car il a pris le taureau par les cornes.» «Je le dis et je le redis, il est dans de bonnes dispositions depuis quelques semaines», insiste l'entraîneur lyonnais. (20mn)
Sur FB il y a eu quelques photos de lui sur le banc, ou il avait l'air assez marqué. Et puis ce matin sur Infosport dans le résumé, ils l'ont montré sur le banc juste avant le match ou quelques minutes après, il plaisantait avec un membre du staff, il était même carrément hilare. C'était sympa de montrer cette image plutôt que l'autre, même s'il est évident qu'un joueur doit pas être spécialement heureux d'être sur le banc.
RépondreSupprimerM.