Yoann Gourcuff (Bordeaux), prostré | MAXPPP
Seraient-ils les nouveaux Arthur Rimbaud ? Nos sportifs ont en ce moment une fâcheuse tendance à se créer leur propre Enfer ou à, comme pour un autre cauchemardeux, Charles Baudelaire, se forger des âmes de poète maudit. Plus leur carrière avance et Mathieu Bastareaud, Yoann Gourcuff ou Aravane Rezaï s’enfoncent dans l’incompréhension, la leur propre, et amplifient chaque jour celle des autres à leur encontre. A moins que, pourquoi pas, ce soit l’inverse. Et que, le fameux Enfer, ce soit le monde qui les entoure…
Ces enfants de la balle perdus dans l’univers des maux et des mots…
(.............................................................)
Voyez maintenant le cas Gourcuff dont le talent inouï se dilue depuis un an et demi dans le bruit et la fureur de tout ce qui entoure le prodige, équipe de France, transfert record de Bordeaux à Lyon, critiques d’anciens partenaires… Et les ressemblances frappantes avec le traumatisme précédent. Une sensibilité exacerbée qui ne peut sans doute se marier avec le maelström médiatique.(le post)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire