Yoann Gourcuff au duel ici avec le Stéphanois Bakary Sako peut être déterminant ce soir face au LOSC / Richard Mouillaud
Yoann Gourcuff admet qu’il a eu des doutes car il n’avait pas de jambes. Il confie ses espoirs
>> Peut-on parler de match décisif à Lille?
C’est un match très important entre deux clubs du haut, mais il restera beaucoup de points à prendre.
>> Mais n’y a-t-il pas un super coup à faire à Lille?
Si on arrive à faire un résultat, on recollera un peu. Maintenant le championnat est encore long, et il ne se gagnera pas là.
>> Que pensez-vous de Lille?
C’est la référence au niveau de la L1, c’est ce qui fait de mieux. C’est l’équipe la plus équilibrée, solide défensivement et qui se projette rapidement vers l’avant grâce à de très grands attaquants.
>> Pourtant à l’aller, vous aviez gagné nettement...
Oui, mais avec pas mal de réussite. On avait été heureux avec ce 3-1. Les Lillois étaient vraiment impressionnants, mais ils ont fait deux erreurs fatales en début de match.
>> Comment voyez-vous l’OL en ce moment?
Il y a du mieux, on avance. On a un meilleur équilibre d’équipe, plus de maîtrise dans le jeu. Après comme pour toutes les équipes de L1, ça reste fragile, tout peut être bouleversé d’un moment à l’autre.
>> Après vingt minutes de jeu à Saint-Etienne, vous êtes passé en 4-2-3-1, y a-t-il eu un déclic?
C’était mieux, on en a parlé entre joueurs, et on a reconu que l’on était plus à l’aise. Ca permet à Kim d’être mieux, il préfère venir chercher les ballons plus bas. Jérémy est plus à l’aise pour défendre et moi j’ai pu trouver plus d’intervalles et surtout épauler davantage Bafétimbi Gomis. On était moins stéréotypé qu’en 4-3-3, ou l’on est un peu coincé dans nos zones.
>> C’est les joueurs qui ont décidé de changer?
Non, c’est Claude Puel qui à Saint-Etienne a demandé à ce que l’on change.
>> Et vous comment vous sentez-vous?
Physiquement je commence à être pas mal. Je suis plus à l’aise, ça se ressent dans mon jeu, ou ça devient plus facile techniquement. J’ai plus de jambes alors qu’avant je n’avais pas trop de peps! Avec mes coéquipiers ça va de mieux en mieux aussi, on commence à bien se connaître.
>> Où situez-vous le déclic?
A Saint-Etienne. On se fait bouger pendant vingt minutes et on gagne 4-1. Individuellement les joueurs ont retrouvé une confiance. Le but contre Nancy m’a fait du bien et on a gardé nos chances en Ligue des champions. Après on sait que l’on ne peut pas être performant sur toute une saison.
>> Avez-vous eu des doutes?
Oui, car j’avais la sensation que je n’avais rien dans les jambes. Je ne répondais pas du tout aux attentes, par rapport à ce que j’étais capable de faire. Mais je suis un gros bosseur à l’entraînement et je me disais aussi que ça allait venir. En fait c’était bizarre, j’allais très bien, mais je n’étais pas très bon...
C’est un match très important entre deux clubs du haut, mais il restera beaucoup de points à prendre.
>> Mais n’y a-t-il pas un super coup à faire à Lille?
Si on arrive à faire un résultat, on recollera un peu. Maintenant le championnat est encore long, et il ne se gagnera pas là.
>> Que pensez-vous de Lille?
C’est la référence au niveau de la L1, c’est ce qui fait de mieux. C’est l’équipe la plus équilibrée, solide défensivement et qui se projette rapidement vers l’avant grâce à de très grands attaquants.
>> Pourtant à l’aller, vous aviez gagné nettement...
Oui, mais avec pas mal de réussite. On avait été heureux avec ce 3-1. Les Lillois étaient vraiment impressionnants, mais ils ont fait deux erreurs fatales en début de match.
>> Comment voyez-vous l’OL en ce moment?
Il y a du mieux, on avance. On a un meilleur équilibre d’équipe, plus de maîtrise dans le jeu. Après comme pour toutes les équipes de L1, ça reste fragile, tout peut être bouleversé d’un moment à l’autre.
>> Après vingt minutes de jeu à Saint-Etienne, vous êtes passé en 4-2-3-1, y a-t-il eu un déclic?
C’était mieux, on en a parlé entre joueurs, et on a reconu que l’on était plus à l’aise. Ca permet à Kim d’être mieux, il préfère venir chercher les ballons plus bas. Jérémy est plus à l’aise pour défendre et moi j’ai pu trouver plus d’intervalles et surtout épauler davantage Bafétimbi Gomis. On était moins stéréotypé qu’en 4-3-3, ou l’on est un peu coincé dans nos zones.
>> C’est les joueurs qui ont décidé de changer?
Non, c’est Claude Puel qui à Saint-Etienne a demandé à ce que l’on change.
>> Et vous comment vous sentez-vous?
Physiquement je commence à être pas mal. Je suis plus à l’aise, ça se ressent dans mon jeu, ou ça devient plus facile techniquement. J’ai plus de jambes alors qu’avant je n’avais pas trop de peps! Avec mes coéquipiers ça va de mieux en mieux aussi, on commence à bien se connaître.
>> Où situez-vous le déclic?
A Saint-Etienne. On se fait bouger pendant vingt minutes et on gagne 4-1. Individuellement les joueurs ont retrouvé une confiance. Le but contre Nancy m’a fait du bien et on a gardé nos chances en Ligue des champions. Après on sait que l’on ne peut pas être performant sur toute une saison.
>> Avez-vous eu des doutes?
Oui, car j’avais la sensation que je n’avais rien dans les jambes. Je ne répondais pas du tout aux attentes, par rapport à ce que j’étais capable de faire. Mais je suis un gros bosseur à l’entraînement et je me disais aussi que ça allait venir. En fait c’était bizarre, j’allais très bien, mais je n’étais pas très bon...
Propos recueillis par Christian Lanier(le progrès)
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