Trois tours du lac avant le petit déjeuner pour le groupe lyonnais sous un ciel enfin bleu…
6h du mat. Le temps grisouille rapproche les montagnes, les rend plus
impressionnantes, voire plus oppressantes. Tignes se réveille et donne
envie de se recoucher. Pour certains, c’est l’heure du plaisir en se
préparant au ski sur le glacier. Pour d’autres, boulot. Les Lyonnais ont
un réveil musculaire à vélo s’il ne pleut pas. Ce n’est pas gagné.
Robert Duverne scrute le ciel et voit avec optimisme des passages bleus
dans le gris. « Je vais les réveiller… ».
A 7h 30, les Olympiens se sont transformés en coursiers sur leurs machines tout terrain prêts au départ. Bruno Génésio balance en rigolant : «Les gars, vous n’avez pas assez invoqué les Dieux de la pluie… ». Robert Duverne donne le programme : « 3 tours du lac à allure libre ».
Un serpentin bleu et blanc longe les eaux calmes du fameux lac. Il y a
déjà des marcheurs, des coureurs. Le soleil s’invite enfin et tout
devient plus agréable. Ce tour du lac de 2 480 mètres a toujours sa côte
indigeste. Pour l’avaler, il faut déjà trouver le bon dosage, le bon
braquet, sinon pied à terre. Le vélo, c’est comme le foot : il faut de
la technique.
Allure libre mais pas de touristes. Parmi les rois de la pédale, le tandem Ohrant (le Doc)/Vercoutre. A fond de pédales, loin devant… deux avions de chasse au-dessus du lot. Le Doc aussi à l’aise en vélo qu’en course à pied, lui qui a couru récemment son premier marathon en un peu plus de 3 heures. Lisandro est plutôt surprenant dans cet exercice avec son style pas franchement académique. Des coursiers qui croisent Bernard Lacombe qui fait le tour en marchant d’un très bon pas.
Le petit déjeuner est mérité. A 10h, retour aux bords du lac pour du foncier. Ce sera une autre musique.(olweb)
A 7h 30, les Olympiens se sont transformés en coursiers sur leurs machines tout terrain prêts au départ. Bruno Génésio balance en rigolant : «Les gars, vous n’avez pas assez invoqué les Dieux de la pluie… ». Robert Duverne donne le programme : « 3 tours du lac à allure libre ».
Un serpentin bleu et blanc longe les eaux calmes du fameux lac. Il y a
déjà des marcheurs, des coureurs. Le soleil s’invite enfin et tout
devient plus agréable. Ce tour du lac de 2 480 mètres a toujours sa côte
indigeste. Pour l’avaler, il faut déjà trouver le bon dosage, le bon
braquet, sinon pied à terre. Le vélo, c’est comme le foot : il faut de
la technique.Allure libre mais pas de touristes. Parmi les rois de la pédale, le tandem Ohrant (le Doc)/Vercoutre. A fond de pédales, loin devant… deux avions de chasse au-dessus du lot. Le Doc aussi à l’aise en vélo qu’en course à pied, lui qui a couru récemment son premier marathon en un peu plus de 3 heures. Lisandro est plutôt surprenant dans cet exercice avec son style pas franchement académique. Des coursiers qui croisent Bernard Lacombe qui fait le tour en marchant d’un très bon pas.
Le petit déjeuner est mérité. A 10h, retour aux bords du lac pour du foncier. Ce sera une autre musique.(olweb)
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