Cette photo illustre l'article avec en sous-titre le titre ci-dessus .Une fois de plus c'est Yoann qui est pointé du doigt ,les blessures des autres sont mentionnées ,les siennes non ,les noms des autres joueurs ayant connus,des défaillances individuelles ne sont pas cités.Encore une fois ,c'est de sa faute .Pauvre Yoann ,jusqu'au bout ,rien ne lui sera épargné,et le Progrès n'est pas son premier supporter ,loin de là !!!!
Pendant ce temps à Bordeaux ,le président Triaud est "Fier de présenter un exercice financier à l’équilibre grâce à la vente de Yoann Gourcuff au mois d'août,"et ne compte pas changer de cap !
L’OL jouera sa saison sur un match, dimanche prochain à Monaco
Ironie du sport : c’est à Monaco, où Claude Puel a passé vingt-cinq ans de sa vie, que l’OL jouera sa saison. Aux alentours de 22h50 dimanche prochain, il saura enfin s’il pourra disputer le barrage de la Ligue des champions ou tomber en Ligue Europa.
Comment en est-il arrivé là? Le mal remonte bien au-delà de ce nul concédé avant-hier dans un climat empoisonné. Les premières blessures, celles de Cris, Bastos et Delgado, survenues en août dernier étaient les prémices d’une saison de souffrance. L’OL n’eut jamais au classement la marge de manœuvre nécessaire comme il ne l’eut pas sur le terrain. D’ailleurs, il continue de payer son manque de maîtrise de technique au milieu de terrain et ce qui ressemblait sur le papier au plus bel effectif de la L1 ne se transforma pas en une équipe compétitive sur la durée.
Un indice est révélateur. Au seuil de la dernière journée d’un championnat dominé par Lille, et avec 28 buts encaissés, l’OL est la 18ème défense à l’extérieur ex-aequo avec un relégué, Lens. Il devance seulement Lorient (35 buts encaissés) et Arles-Avignon, un autre relégué (39). Ce chiffre indique une faillite technique mais aussi, et surtout, mentale. D’Arles-Avignon, précisément, où les Lyonnais réussirent l’exploit d’être menés au score après un but de Dja Djédjé, qui n’avait pas marqué avant et ne marqua plus après, en passant par Valenciennes, Toulouse, Brest, Auxerre et Nice, où des joueurs aussi limités qu’Oliech et Civelli se régalèrent, la copie rendue ne pouvait pas être celle d’un champion.
Entre des blessures quasi constantes, une charnière centrale trop perméable, et des changements réguliers d’équipe et de système, Claude Puel ne trouva pas le bon équilibre. Sa formation se révéla ainsi irrégulière dans un même match et d’un match à l’autre et son message ne sera pas entendu. C’est le moins que l’on puisse dire. A sa décharge, il ne fut pas aidé par des défaillances individuelles. On pense avant tout à celle de Yoann Gourcuff, synonyme de flop monumental. Toutes ces raisons expliquent une situation ô combien périlleuse aujourd’hui. Dans une épreuve de longue haleine, il n’y a jamais de hasard et l’OL va logiquement devoir tout miser sur le tapis de Monaco face à un adversaire qui joue sa survie. Au pied du Rocher, la peur du vide, ou du bide, n’est pas loin.A.Osana (le progrés)
Pendant ce temps à Bordeaux ,le président Triaud est "Fier de présenter un exercice financier à l’équilibre grâce à la vente de Yoann Gourcuff au mois d'août.
RépondreSupprimerEt sinon, il est fier de la place de son equipe aujourd'hui ??
E.
Il est bien gentil le monsieur de parler de defaillances individuelles, en oubliant les collectives.
RépondreSupprimerL'OL 18eme defense à l'extérieur, c'est Gourcuff ?
L'OL 50% de buts pris sur CPA, c'est Gourcuff ?
Marrant de parler du bilan défensif médiocre de l'equipe en évoquant les défaillances offensive de son meneur de jeu comme raison. S'il n'a que peu pesé dans le secteur offensif, je ne crois pas pour autant qu'il ait couté un but, on ne l'aurait pas loupé sinon.
M.
Encore un journaliste qui ne sait pas faire une addition à deux chiffres. L'OL sans Yo c'est 19 point en 13 matches soit une moyenne de 1.46. Avec Yo c'est 42 point en 24 matches, moyenne 1.75. Si on retire les deux premiers matches juste après son arrivée, on grimpe à 1.9 ...
RépondreSupprimerK.
Il faut dire que les dernières prestations de l'OL ont du bien plomber les chiffres "sans YG". Il faut reconnaitre ce qui est : avec ou sans Yoann, l'OL cette saison, c'est pas brillant, et c'est tout ce qu'on leur demande de reconnaitre. Si Yoann n'a pas franchement influé en bien sur l'équipe, il n'est pas non plus responsable de la mauvaise saison, contrairement à ce que pense ce cher Saccomano
RépondreSupprimerM.
Pas brillant c'est sans doute vrai, pas efficace c'est moins sûr. Entre la 8 et la 30 journée l'OL possède le meilleur rendement. Le champion Lille (toute mes félicitations) tourne à une moyenne de 1.97 sur les 37 parties. En tant que statisticien (déformation professionelle), passer de 1.46 à 1.75 (voire 1.9) est significatif. Si YG n'a pas eu l'allant offensif escompté, il a su faire circuler, c'est-à-dire "tenir", le ballon ... cela évite de se prendre des buts
RépondreSupprimerK
Et "tenir le ballon" est ce pour quoi il a été recruté, entre autre (c'est au moins le minimum qu'il ait fait cette année, le pire c'est qu'on lui reproche).
RépondreSupprimerChic un statisticien, les chiffres ne me déplaisent pas. Mais je me souviens qu'après Toulouse, un médias avait sorti les chiffres inverses, à savoir que l'OL était plus performant sans YG. Et j'avais ralé, forcement : c'est quoi un match "sans YG" ??? pas titulaire ?? on a vu que contre Montpellier, le match "sans YG" a été gagné ... grâce à lui. Et que face à Paris, le match "avec YG" a été perdu quand il n'était plus sur le terrain (même s'ils ont mieux joué).
Donc du coup, a moins d'une différence vraiment flagrante (a priori c'était la cas à Bdx), je reste sceptique sur ce qu'on peut faire dire à ces chiffres (un peu comme le % de passe reussies, si c'est vers l'arrière, ça fait un beau chiffre mais qui sert à rien), d'autant plus qu'il a suffit de 3 matchs pour les plomber.
En tout cas, ces 3 matchs sont la preuve que l'OL n'est pas plus efficace quand Yoann n'est pas là, c'est a peu pret la seule consolation qu'on peut avoir.
M.