un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

Coucou, à tous mes visiteurs

Ici,on parle de Yoann ,du club où il joue ,de foot,de L' OL ,de L' EDF, (et pour les autres , si vous le voulez ,on peut en parler dans les commentaires ) et bien sûr dans le respect des uns et des autres .
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très privée" de Yoann ,ni sur des publications qui l'évoquerait sur des suppositions ,des extrapolations ou pour autre chose que le versant sportif hormis les actions en faveur d'associations ou si les infos viennent de lui par le biais d'ITW(,girondins tv,oltv ,c+,..etc ,reportages médias ou public pour des actions diverses et variées ).
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J'aime le foot depuis longtemps,et je suis très heureuse d'échanger et de partager avec vous .
COCO
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mardi 20 août 2013

Yoann vu par un ....

PORTRAIT Avant d’affronter les Espagnols de la Real Sociedad, le milieu de l’Olympique lyonnais nourrit de nouveau le fantasme d’un joueur atypique.

Par GRÉGORY SCHNEIDER
Sans même parler de ses capacités footballistiques, Yoann Gourcuff a depuis le premier jour une sorte de talent : celui d’exister dans l’œil des autres indépendamment de ce qu’il dit, ou même - et c’est fort - de ce qu’il fait. A la relance ce soir à Gerland en match aller du tour préliminaire de Ligue des champions contre la Real Sociedad (Saint-Sébastien), le milieu lyonnais est parvenu à ressusciter depuis quelques semaines son propre fantasme. Une image dont on est prêt à parier qu’elle survivra à la carrière du joueur lui-même : celle d’un utopiste au regard clair, adepte d’un jeu suave et collectif, alors que tout n’est qu’agressivité et violence autour de lui.

C’est peu dire qu’il existe un décalage entre cette représentation et ce que le journaliste voit de Gourcuff après les matchs (quand il voit quelque chose, le joueur filant souvent en douce) : un type mariole, content de lui, à la limite de la provocation quand il décrit le match - que ses vis-à-vis ont vu, en général - pour en dire le moins possible avant de lâcher deux ou trois conneries du genre «ce qui compte, c’est le collectif», ou encore «je me concentre sur mes sensations avec le ballon». Disons qu’à la longue le découragement a laissé la place dans l’esprit des présents à une forme d’ironie pourrissant la situation chaque fois un peu plus.

Bizarre. La position de Gourcuff au sein du vestiaire lyonnais est plus intrigante. Vendredi, ses partenaires ont semblé soulagés pour Gourcuff quand celui-ci a inscrit le troisième but de l’OL à Sochaux (3-1) : possible que l’attitude du gaillard passe mieux auprès de la jeune génération lyonnaise qu’avec l’ancienne. Au début de la saison dernière, que Gourcuff a pour partie passée en rééducation (entorse du ligament interne du genou droit), il s’était fendu d’un speech liminaire devant le groupe : «J’ai expliqué un peu qui j’étais, a précisé le joueur dans un documentaire qui lui fut consacré sur Canal +. J’ai donné mon mode de fonctionnement : en gros, ce n’est pas parce que je ne parle pas que j’en veux à qui que ce soit.» Ses voisins de vestiaire sont souvent partis sur cette idée-là mais, passé un certain point, ils se sont aussi dit que trop, c’était trop.(liberation)



Décidemment ce Gregory Schneider continue dans ses articles à étaler son mépris ! Parle-t'il foot ? non ,Monsieur est vexé parce que "l'utopiste au regard clair " ,rien que ça ,les snobent ! Bassesse et stupidité seront mes critiques envers ce type qui travaille pourtant ds un journal qui nous a souvent habitué à mieux ! 

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