En gagnant à Wembley (2-1), mercredi, l'équipe de France s'est offert un souvenir «inoubliable» mais a aussi «confirmé sa dynamique de victoires».
«Ce genre de match, on s'en souviendra de nombreuses années». A l'image de Hugo Lloris, les joueurs de l'équipe de France ont fait part de leur «joie» de s'être imposés «dans un stade mythique». «Gagner à Wembley, c'est extraordinaire», s'émerveille Mathieu Valbuena, auteur du deuxième but des Bleus. Adil Rami invite cependant les Bleus à «ne pas s'enflammer». «On est encore en bas de l'échelle», pense le défenseur de Lille. Les absences de certains titulaires habituels côté anglais semblent peser dans la balance, même si Florent Malouda estime que «cela reste une grosse perf'. On a pris le match par le bon bout, on a imposé notre rythme et on n'a pas subi».
Malouda : «Une complicité s'est créée (...) Il faut apprécier ces moments et faire en sorte de les revivre»
Onze ans après leur succès historique dans la capitale anglaise, les Tricolores ont en effet semblé chez eux, du moins en première période. Ils ont pu développer plus de jeu que lors des trois précédents matches, qualificatifs à l'Euro 2012, car débarassés de la «pression» du résultat. «On n'avait pas cette obligation de points et le coach tenait à ce qu'on produise du jeu, explique Yoann Gourcuff. On avait pas mal de liberté dans l'animation offensive.» S'ils ont eu les occasions pour sceller définitivement le sort de la rencontre, les Bleus ont aussi frôlé la correctionnelle en fin de partie. «Mais on a su résister, positive Lloris. On a validé ce que l'on avait fait lors des précédents matches».
«C'est une continuité, dans la résultats mais aussi la manière», poursuit Malouda. La reconstruction d'un groupe, d'un noyau dur, ne sont plus seulement des idées mais une réalité, désormais. «Les automatismes commencent à être là», affirment Karim Benzema et Dimitri Payet. «Une complicité s'est créée, renchérit Malouda. Il faut apprécier ces moments et faire en sort
revivre». «On avance, c'est important, conclut Lloris. On avait mal commencé l'année, on la finit bien». - J. Te., à Londres«C'est une continuité, dans la résultats mais aussi la manière», poursuit Malouda. La reconstruction d'un groupe, d'un noyau dur, ne sont plus seulement des idées mais une réalité, désormais. «Les automatismes commencent à être là», affirment Karim Benzema et Dimitri Payet. «Une complicité s'est créée, renchérit Malouda. Il faut apprécier ces moments et faire en sort
via l'équipe
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