Je suis en colère depuis hier à la 88ième mn de jeu et voilà encore un article qui ne va pas améliorer mon humeur ,mais va conforter les siffleurs , leur donner raison .Mais de quel droit ce monsieur se permet-il de justifier les sifflets à l'encontre de Yoann par le fait qu'il n'échangerait pas avec le public de manière sincère?, qu'il ne donne rien au public?,je crois qu'il se sert de se prétexte pour attaquer Y.G qui refuse de parler avec une certaine presse mais qui a parlé à des quotidiens régionaux (le progrès ,Sud-ouest ) ,donné des itw à girondins tv , olweb , C+,et aucun des propos qu'il a tenu dans ces occasions n'a été repris par la presse écrite ,ben voyons ,il expliquait des choses ,il parlait de jeu mais pas à eux et ça ils ne le supportent pas!!!!! Honte à vous Mrs qui êtes un soi-disant journaliste !!! coklico
Que l'entrée en jeu de Franck Ribéry à la 59e minute de France-Croatie (0-0) ait été accompagnée de sifflets nourris à son endroit ne nous a pa
Que l'entrée en jeu de Franck Ribéry à la 59e minute de France-Croatie (0-0) ait été accompagnée de sifflets nourris à son endroit ne nous a pa
étonné tant le scénario était attendu. Que le côté du Stade de France qui accueille le groupe des supporters les plus fidèles ait tenté de contrebalancer cette réaction hostile avec des slogans à la gloire du joueur, c'est plutôt de bonne guerre.
Il est à parier que si Patrice Evra avait été invité, lui aussi, à fouler la pelouse, la vague de protestation aurait été encore plus forte. Aurait-elle été compensée par un mouvement d'approbation «organisé», nul ne peut l'imaginer ? Il faut bien avoir conscience que, tout autant que le nouveau maillot de l'équipe de France, le choix stratégique de Laurent Blanc de rappeler Ribéry et Evra est très loin de faire l'unanimité.
Deviendrait-il à son tour le souffre-douleur du public français ?
Mais ce qui nous a le plus frappé mardi soir, en définitive, c'est l'accueil réservé à Yoann Gourcuff, copieusement hué lorsqu'il remplaça Samir Nasri à deux minutes de la fin (photo Presse-Sports). Lui qui passait plutôt pour être une victime de Knysna deviendrait-il à son tour le souffre-douleur du public français ? Il y a matière à s'interroger. Pendant un certain temps, tout jouait en sa faveur : ses performances sportives, son statut, son image, plus quelque chose d'indéfinissable qui faisait de lui un modèle. Alors que l'après Coupe du monde et son transfert record à Lyon devaient lui permettre de franchir un pallier décisif et d'augmenter son capital sympathie, il donne le sentiment d'errer comme une âme en peine sur le terrain et de s'enfermer dans une bulle en dehors.
Les spectateurs ont besoin que les joueurs véhiculent du rêve. Ce n'est plus le cas de Gourcuff. Mais ils éprouvent aussi l'envie qu'un partage sincère s'instaure avec leurs champions. Ça n'a jamais été le cas avec Gourcuff. On ne reçoit que ce que l'on donne, finalement. C'est ce que nous nous disions en entendant le public de Saint-Denis lorsque Gourcuff s'apprêtait à honorer sa 28e sélection.
Denis Chaumier(rec de francefootball)
Il est à parier que si Patrice Evra avait été invité, lui aussi, à fouler la pelouse, la vague de protestation aurait été encore plus forte. Aurait-elle été compensée par un mouvement d'approbation «organisé», nul ne peut l'imaginer ? Il faut bien avoir conscience que, tout autant que le nouveau maillot de l'équipe de France, le choix stratégique de Laurent Blanc de rappeler Ribéry et Evra est très loin de faire l'unanimité.
Deviendrait-il à son tour le souffre-douleur du public français ?
Mais ce qui nous a le plus frappé mardi soir, en définitive, c'est l'accueil réservé à Yoann Gourcuff, copieusement hué lorsqu'il remplaça Samir Nasri à deux minutes de la fin (photo Presse-Sports). Lui qui passait plutôt pour être une victime de Knysna deviendrait-il à son tour le souffre-douleur du public français ? Il y a matière à s'interroger. Pendant un certain temps, tout jouait en sa faveur : ses performances sportives, son statut, son image, plus quelque chose d'indéfinissable qui faisait de lui un modèle. Alors que l'après Coupe du monde et son transfert record à Lyon devaient lui permettre de franchir un pallier décisif et d'augmenter son capital sympathie, il donne le sentiment d'errer comme une âme en peine sur le terrain et de s'enfermer dans une bulle en dehors.
Les spectateurs ont besoin que les joueurs véhiculent du rêve. Ce n'est plus le cas de Gourcuff. Mais ils éprouvent aussi l'envie qu'un partage sincère s'instaure avec leurs champions. Ça n'a jamais été le cas avec Gourcuff. On ne reçoit que ce que l'on donne, finalement. C'est ce que nous nous disions en entendant le public de Saint-Denis lorsque Gourcuff s'apprêtait à honorer sa 28e sélection.
Denis Chaumier(rec de francefootball)
+ 1000 avec ton edito. Je ne suis pas étonnée des propos de ce monsieur chaumier car France Football et L'équipe c'est la même maison d'édition. Il faut bien remarquer que ces quotidiens ont décidé une véritable entreprise de démolition contre Yoann Gourcuff. Et sachant que cette presse a le quasi-monopole pour la diffusion de l'infos sportives, une majorité de lecteurs se laissent embobiner. Rappelez-vous Aimé Jacquet: si on avait écouté l'équipe à l'époque, jamais l'entraineur de l'EDF n'aurait pu continuer son travail et l'équipe de 1998 n'aurait pas gagné la coupe du monde... Yoann, la meilleure réponse est sur le terrain. On croit en toi.
RépondreSupprimerYanisse.