un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

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jeudi 31 mars 2011

Les Bleus, ça se mérite, encore un article contre Yoann

Zoom sur l'épisode Gourcuff-Matuidi. Sous Blanc, on peut gagner sa place à l'entraînement même si on vient de loin (Matuidi) et on peut la perdre en match même avec une bonne feuille de stats (Gourcuff).

Après la montée en flèche, la pause. Sur les ruines de sa défaite contre la Biélorussie il y a six mois (0-1), les Bleus de Laurent Blanc avaient construit des résultats et une progression qui avaient pu laisser la fausse impression d'un retour aux affaires naturel, programmé, enthousiasmant. Luxembourg - France (0-2) et France - Croatie (0-0) se sont posés là. Ils ont mis sur la table plus de questions qu'apporté de réponses sur le niveau et la progression de cette équipe. Pas d'inquiétude... Il est classique, dans tous les domaines de la vie ou presque, qu'un processus d'apprentissage et de progression comme celui des Bleus soit interrompu d'a-coups voire de retours en arrière. Pour peu que l'équipe de Blanc ne perde pas à nouveau en juin sur le terrain de la Biélorussie en qualifications pour l'Euro 2012, l'horizon sera dégagé pour les douze mois suivants, avec aucune autre préoccupation vitale que celle du progrès.

Gourcuff, un but en trompe-l'oeil


Au-delà de la tenue de route de l'équipe, ce stage de dix jours nous a apporté deux éclairages intéressants sur le management de Blanc. Même s'il commence à reculer désormais quand il s'agit de répondre aux questions sur ses individualités, le sélectionneur conserve le courage qui labellise pour l'instant sa prise de fonction. Premier courage : avoir sorti Yoann Gourcuff de l'équipe. Vendredi soir, après le succès 2-0 au Luxembourg, avec un deuxième but du Lyonnais, l'humeur générale est que Gourcuff avait sauvé son match et sa place avec ce geste décisif. Décevant dans le jeu depuis le début de la saison, il avait quand même inscrit trois buts sur douze, soit 25% du total de l'ère Blanc et cela le désignait encore comme un cadre.

Il y a quelques semaines, sur ce site, Arsène Wenger écrivait ceci, à l'époque où Karim Benzema était le remplaçant d'Adebayor au Real Madrid : "Je pense qu'il faut avant tout se concentrer sur la performance et ne pas se focaliser sur le but. Au contraire, le fait de marquer des buts est parfois une fausse excuse pour maintenir un joueur dans l'équipe. C'est un faux alibi car la première chose qui est importante, c'est une bonne performance du joueur." Laurent Blanc vient d'appliquer ce principe simple. Clair comme de l'eau de roche sur le papier, tellement plus dur à appliquer pour la plupart de ses confrères. Le mois de juin nous dira ce qu'il pense vraiment de Yoann Gourcuff. Après une quinzaine si étrange pour l'ex-Bordelais, tout semble encore possible entre une absence pure et simple de la liste et un retour dans le onze de départ comme si de rien n'était...

On peut gagner sa place durant le stage

Pour ce match, Gourcuff a été remplacé par le Stéphanois Blaise Matuidi, un joueur qui n'était même pas dans la liste initiale. Sur lui, Blanc a dit : "Il a gagné sa place ce soir et durant le stage. Je l'apprécie beaucoup de par sa mentalité. Il est très attentif, très volontaire et il ne se pose pas de question". Cela n'a pas l'air de grand chose mais c'est un précédent qui peut compter dans l'émulation interne. Dans la vie des clubs, où l'effectif et le coach vivent quasiment en vase clos, il est fréquent que le contenu des séances et la forme individuelle perçue à l'entraînement finissent par conduire l'entraîneur à faire évoluer son équipe. En sélection, la norme serait plutôt la suivante : le sélectionneur a son équipe-type en tête, il construit son groupe de sélectionnés autour d'elle, il articule les séances d'entraînement autour de ce projet, et les remplaçants n'ont qu'à s'adapter. Quand il était international, Blanc a seulement effleuré cette période où les champions du monde et d'Europe ne se renouvelaient que par cooptation. Elle n'a aucune influence sur ses choix actuels, toujours dictés par sa souveraineté.

Tous les jeunes Bleus savent aujourd'hui qu'il y a la jurisprudence Matuidi et une jurisprudence Gourcuff. On peut gagner sa place à l'entraînement et on peut la perdre en match même avec une bonne feuille de stats. Tout a concouru, autour de ces deux rencontres banales, à enraciner cette évidence fondamentale : l'équipe de France se mérite. Tout rapprochement avec les retours simultanés de Ribéry et Evra est probablement une coïncidence. Une belle coïncidence.

Cédric ROUQUETTE

1 commentaire:

  1. J'ai voulu m'inscrire pour commenter ce ramis de mauvaise foi (je parle de l'article hein), mais mes messages ne passent pas ???
    Ah ça les emmerde les buts de Yoann, à tel point qu'on en arrive à les minimiser le plus possible a grand renfort de l'avis d'experts (Wenger en l'occurence, celui là même qui dit aussi que "etre décisif, c'est important") et on voit un ramassis de mouton derrière opiner du chef "ah oui moi je préfère voir du jeu et qu'on ait pas de titres" comme si une sélection nationale fonctionnait comme un club, je voulais leur dire "mais mes cocos, si l'EdF ne marque pas, elle ne gagne pas et si elle ne gagne pas elle est disqualifiée Et dans ce cas il y aura plus rien a voir" Je passe aussi sur le fait que l'on mette encore et toujours le manque d'animation offensive contre le Luxembourg sur le dos de Gourcuff alors que de l’aveu même de "la hyenne" on jouait avec deux "6" et j'ai rarement vu qu'on demande a un "6" de mener le jeu, à fortiori quand il y a un "10" devant lui.

    A tiens dernière chose, l'auteur parle de 3 buts sur les 12 marqués sous l'aire Blanc, il comptabilise donc meme les buts ou YG n'était pas dans le groupe, ça fait baisser les stats. Sinon on arrive à 3 sur 9. On y ajoute sa passe décisive 4/9. Et si on veut aller encore plus loin, contre l’Angleterre il est impliqué sur les 2 buts, role qu'on demande à un relayeur. Ca fait donc une implication directe ou indirecte de YG sur 6 des 9 buts marqués par l'EdF quand Yoann était sur le terrain.
    Mais à part ça, il est nul et il sert à rien CQFD

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