L’équipe de France continue de préparer activement les deux rencontres amicales face à l’Uruguay et au Brésil. Si les Bleus ont ouvert les portes de l’entraînement aux enfants du lycée français, une séance terminée par une longue séance d’autographes, ils ont eu droit à une visite du musée du sport de Montevideo. Deschamps a par ailleurs nommé Matuidi capitaine et souligné l’amour des Bleus de Benzema.
Les Bleus au musée
L’équipe de France a débuté sa journée par une visite du musée du football de Montevideo au stade du Centenario. A cette occasion, tout le groupe France a effectué le déplacement. Pas de passe droit pour cette visite privée d’un musée de toute beauté à la gloire du football en Uruguay. De quoi revisiter l’histoire du ballon dans son ensemble, du succès de l’Uruguay lors de la première Coupe du monde en 1930 aux récents exploits de la Celeste de Abreu ou encore Diego Forlan, meilleur joueur de la Coupe du monde 2010 qui avait vu l’Uruguay se hisser jusqu’en demi-finales. Ils auront également pu apprendre que le premier buteur de la Coupe du monde 1930 n’était autre que Lucien Laurent pour l’équipe de France.
L’équipe de France a débuté sa journée par une visite du musée du football de Montevideo au stade du Centenario. A cette occasion, tout le groupe France a effectué le déplacement. Pas de passe droit pour cette visite privée d’un musée de toute beauté à la gloire du football en Uruguay. De quoi revisiter l’histoire du ballon dans son ensemble, du succès de l’Uruguay lors de la première Coupe du monde en 1930 aux récents exploits de la Celeste de Abreu ou encore Diego Forlan, meilleur joueur de la Coupe du monde 2010 qui avait vu l’Uruguay se hisser jusqu’en demi-finales. Ils auront également pu apprendre que le premier buteur de la Coupe du monde 1930 n’était autre que Lucien Laurent pour l’équipe de France.
Gourcuff, à gauche toute !
Y oann Gourcuff a beau préférer l’axe, c’est bien à gauche qu’il va débuter face à l’Uruguay mercredi. Didier Deschamps en a parlé avec lui et met en avant ses qualités et ses prestations à Lyon pour justifier ce choix. "C’est plus de la complémentarité avec les joueurs qui sont à côté de lui ou derrière lui mais ça ne l’a pas empêché, au-delà de sa qualité technique, d’être décisif aussi, de faire marquer et de marquer", plaide le sélectionneur national. Le Lyonnais ne partira pas dans l’inconnu puisqu’il aura derrière lui Benoît Tremoulinas avec qui il a évolué àBordeaux. "Par rapport au caractéristiques de Yoann c’est important que le latéral placé derrière lui monte et lui offre des solutions. Yoann a cette possibilité de venir entre les lignes, d’être dans le cœur du jeu", ajoute un Deschamps convaincu que l’intelligence de jeu de Gourcuff fera la différence. Même àgauche.( Michael Balcaen sport;fr)
Y oann Gourcuff a beau préférer l’axe, c’est bien à gauche qu’il va débuter face à l’Uruguay mercredi. Didier Deschamps en a parlé avec lui et met en avant ses qualités et ses prestations à Lyon pour justifier ce choix. "C’est plus de la complémentarité avec les joueurs qui sont à côté de lui ou derrière lui mais ça ne l’a pas empêché, au-delà de sa qualité technique, d’être décisif aussi, de faire marquer et de marquer", plaide le sélectionneur national. Le Lyonnais ne partira pas dans l’inconnu puisqu’il aura derrière lui Benoît Tremoulinas avec qui il a évolué àBordeaux. "Par rapport au caractéristiques de Yoann c’est important que le latéral placé derrière lui monte et lui offre des solutions. Yoann a cette possibilité de venir entre les lignes, d’être dans le cœur du jeu", ajoute un Deschamps convaincu que l’intelligence de jeu de Gourcuff fera la différence. Même àgauche.( Michael Balcaen sport;fr)
Il y a un article sur ouest-france (voir OLcafé) si quelqu'un peut le rapatrier.MC
RépondreSupprimerGourcuff : « Je ne ferme la porte à rien du tout »
RépondreSupprimerMatch amical. Uruguay - France (ce soir, 21h). Le milieu de terrain de Lyon revient aux affaires avec les Bleus. Même si c’est à un poste différent, c’est l’occasion de briller de nouveau.
Montevideo. De notre envoyé spécial
Vous allez évoluer contre
l’Uruguay sur le côté gauche...
Comme ces deux derniers mois à Lyon. À 27 ans je découvre un nouveau poste ! J’ai joué milieu côté droit ou axial à Rennes, un peu axial gauche à Milan, dans un milieu à trois... Je suis étonné, car j’arrive à peu près à prendre du plaisir dans un poste qui n’est pas le mien. C’est bien d’être polyvalent pour dépanner, mais je n’ai pas d’avenir à ce poste- là. Certes, j’ai des repères et des sen- sations au fil des matches, mais je reste persuadé que là où j’ai le plus d’influence et où mes qualités res- sortent le mieux, c’est dans une posi- tion axiale. Je n’ai pas de qualités de percussion pour aller fixer le latéral adverse et déborder. Je ne joue pas comme un ailier, je ne sais pas faire ça. Alors, j’essaie d’être malin, de me mettre dans les intervalles...
Benoit Trémoulinas sera derrière
vous, ça peut vous rassurer ?
Oui ! J’ai joué deux ans à Bordeaux, avec lui, il y avait une bonne compli- cité entre nous. Cela peut me per- mettre de combiner plus facilement. Dans une position axiale, on a plus d’influence sur le jeu. J’ai besoin de toucher pas mal de ballons, de bouger, d’être actif pour avoir de la confiance et tenter des choses. On a une plus grande liberté d’expression et on est plus concentré dans l’axe. La difficulté du poste, c’est quand tout se passe de l’autre côté : on ne touche pas le ballon parfois pendant 10 minutes et quand ça arrive enfin d’un coup, on n’est plus complète- ment sensibilisé et c’est le duel, tout de suite, ce n’est pas facile.
Il y a un an, au Touquet, vous quittiez les Bleus juste avant l’Euro. En gardez-vous une certaine amertume ?
Non, j’étais déçu mais pas fâché. Je ne l’ai pas du tout mal pris, Une nouvelle génération arrive aussi. Il n’y a pas beaucoup de joueurs pré- sents ici, à Montevideo, qui étaient là quand j’ai débuté. Quand je suis arri- vé en 2008, il y avait un groupe avec beaucoup de joueurs expérimentés (Henry, Gallas, Malouda...), et très peu de changements. C’était plus in- timidant qu’aujourd’hui...
Vous attendiez-vous à revenir
en cette fin de saison ?
Pas mal de personnes de mon entou- rage me le prédisaient. C’est en en- chaînant les matches que les perfor- mances reviennent et qu’on redevient sélectionnable. Il faut profiter du mo- ment, l’équipe de France n’appartient à personne. J’ai joué seulement 23 matches cette saison, tout compris, à cause de blessures, mais j’ai beau- coup bossé pour revenir. C’est moins fatigant de jouer tout le temps que d’être blessé et de devoir travailler
pour retrouver le rythme. On est obli- gé de mettre les bouchées doubles. Rien ne remplace la compétition, on a beau s’entraîner sérieusement. L’in- tensité du match, c’est la vérité. En match, on est capable de se surpas- ser physiquement. Plus qu’à l’entraî- nement. Je dois encore accumuler les temps de jeu, démarrer un maxi- mum de matches. Je ne suis pas en- core revenu au top, mais c’est pas mal. Cela sera de mieux en mieux.
E
Suite de l'article de ouest-france
RépondreSupprimerEt toujours avec Lyon ?
Pour l’instant, ça n’a pas trop bougé pour moi. J’ai encore deux ans de contrat, on discutera tranquillement. Si des clubs sont intéressés et intéressants, je ne ferme la porte à rien du tout. Mais il faut que tout le monde soit d’accord. J’ai une certaine idée du football, de la philosophie de jeu, je sais dans quelles conditions je peux m’épanouir ou non. C’est ce qui prime, même s’il y a un aspect économique qui entre en jeu. Il faut
voir le projet sportif, si on compte sur moi, les moyens qu’on se donne pour réussir... Des idées bien claires, qui ne changent pas après une défaite. Les entraîneurs ont tellement de pres- sion sur le dos, qu’ils sont obnubilés par le résultat et oublient les moyens pour y arriver. En Ligue 1, on ne se détache pas assez du résultat. On essaie d’être solide défensivement, de ne pas prendre de but surtout, et puis quand on récupère le ballon on doit vite « gicler » en contre... On est constamment dans le duel, les « un contre un ». Alors que les Barcelo- nais, par exemple, évitent les duels, essaient de se déplacer dans les in- tervalles, font preuve de patience en redoublant les passes, utilisent toute la largeur du terrain. Pour moi c’est ça, le foot.
Recueilli par
Jérôme BERGOT.
Je possède aussi l'article en version pdf. E
si tu peux me l'envoyer à l'adresse twitter via mp ou fb adresse sur le côté ,ce serait sympa ! mais merci de l'intégralité de l'article sur le com' !
SupprimerJe viens de l'envoyer par mp sur l'adresse fb.
SupprimerE
merci E ,c'est tres gentil !
SupprimerNon il parle ???? Je déconne mais qu'est ce que ça fait plaisir de l'entendre enfin de le lire.
RépondreSupprimerContrairement à ce qui a été dit par des journaleux qui une fois de plus ont inventé des infos, il ne ferme pas la porte à un départ et affirme ce que l'ont dit depuis le début ici : à savoir qu'il recherche un club intéressant avec un projet sportif qui lui correspond.
"Il faut voir le projet sportif, si on compte sur moi, les moyens qu’on se donne pour réussir... Des idées bien claires, qui ne changent pas après une défaite"...hummmmm cela me rappelle quelqu'un dis donc...
L.
oui ,on se demande pas de qui il parle .....; mais lui a parlé ,au mec de ouest-france et il dit les choses clairement ,sans langue de bois ,subtilement comme toujours !!
SupprimerEncore une fois, ce qu'il dit a le mérite d'être clair, net, vrai et courageux!!! Mais encore une fois, ça ne va pas plaire à Garde! Même si Yoann, gentiment, trouve des excuses à son entraineur
RépondreSupprimerobnubilé par le résultat! En même temps, au point où en sont les choses entre eux, Yoann a tout à fait raison de s'exprimer. Cela évite que les journaleux le fassent à sa place et inventent des tas de choses toutes plus débiles les unes que les autres. Et au moins, tout le monde aura compris que Yoann veut faire partie d'un projet sportif dans lequel on compte sur lui, avec les moyens pour réussir, sans jouer les girouettes à la fin de chaque match...et non pas rester à tout prix à l'OL pour des raisons financières. GM