un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

Coucou, à tous mes visiteurs

Ici,on parle de Yoann ,du club où il joue ,de foot,de L' OL ,de L' EDF, (et pour les autres , si vous le voulez ,on peut en parler dans les commentaires ) et bien sûr dans le respect des uns et des autres .
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COCO
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jeudi 6 juin 2013

Gourcuff, exil raté

Yoann Gourcuff


Par Emmanuel Quintin,
Yoann Gourcuff bute sur Muslera - Panoram
Installé à un poste de milieu gauche, qui n’est clairement pas le sien, Yoann Gourcuff a traversé le match contre l’Uruguay comme une ombre.
Avant mercredi soir, la dernière titularisation de Yoann Gourcuff en équipe de France remontait au 27 mai 2012 face à l’Islande (3-2). Un an plus tard, la prestation livrée par le Lyonnais sur la pelouse du Centenario de Montevideo, face à l'Uruguay (1-0), n’a pas franchement fait regretter cette longue éclipse en Bleu (entrecoupée par un quart d’heure de jeu en Italie en novembre dernier en remplacement de Mathieu Valbuena).
En une heure de jeu, l’ancien Bordelais a peu existé, ne créant presque aucun décalage et jouant au mieux latéralement, au pire vers l’arrière. «Yoann peut venir dans le cœur du jeu, entre les lignes. L’avantage c’est que par rapport à une position axiale, il parvient plus facilement à se démarquer», avait expliqué Didier Deschamps mardi pour justifier la titularisation à venir de l’ancien Milanais dans le couloir gauche. Le sélectionneur avait vu juste. Une fois. Une seule fois en effet, Gourcuff s’est retrouvé parfaitement démarqué côté gauche mais une passe trop tardive de Dimitri Payet, une pelouse rendant difficile le contrôle et une bonne sortie de Muslera ont annihilé l’occasion qui s’offrait à lui (39e).
Je n’ai pas d’avenir à ce poste-là, je ne pense pas
— Yoann Gourcuff, dans Ouest-France
En dehors de cette occasion manquée, le Lyonnais a été transparent, ou presque. A sa décharge, il n’évoluait pas à son poste de prédilection mais dans le couloir gauche. «Ce n’est pas son meilleur poste. Je le sais, lui aussi», avait anticipé Deschamps dès mardi. L’intéressé lui-même, qui a terminé la saison dans ce couloir avec l’OL de Rémi Garde,avait confié à Ouest-France son peu d’entrain à se décaler ainsi. «J’arrive à peu près à prendre du plaisir dans un poste qui n’est pas le mienC’est bien d’être polyvalent pour dépanner, mais je n’ai pas d’avenir à ce poste-là, je ne pense pas», affirmait-il. «Certes, j’arrive à trouver des repères et ses sensations au fil des matches, mais je reste persuadé que là où j’ai le plus d’influence et là ou mes qualités ressortent le mieux, c’est dans une position axiale. C’est une certitude pour moi
Le match de mercredi en apporté la preuve par l’absurde et si Didier Deschamps ne voulait pas, après le match, «entrer dans les analyses individuelles», il a bien remarqué que le milieu formé à Rennes n’a pas apporté grand-chose. «Comme dans tous les matches, il y en a qui sont mieux et d'autres moins bien», expliquait-il. Le Lyonnais était assurément à ranger dans la deuxième catégorie mais Deschamps lui trouvait une circonstance atténuante avec ce rôle de milieu gauche «qui n'était pas idéal pour lui.» Questions alors : pourquoi s’il sait que ce n’est pas son poste, le sélectionneur l’a-t-il aligné dans ce couloir gauche ? Et quels enseignements peut-il réellement tirer de sa prestation ? En dehors de ce qu’il savait déjà, on ne voit pas. Pour Gourcuff, qui ne peut pas réellement concurrence Mathieu Valbuena en 10 pour le moment, une occasion est passée. Une occasion gâchée.('sport24)

Richard Gourcuff et Yoann Gasquet

Yoann Gourcuff et Richard Gasquet sont probablement, en compagnie de Tony Parker, les deux plus gros talents du sport français. Mais ils n’y arrivent pas, la faute en grande partie à un mental qui ne répond pas aux attentes placées en eux.

NOTE
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Gasquet quitte Roland-Garros sur une défaite en cinq sets
Gasquet quitte Roland-Garros sur une défaite en cinq sets
Deux jours après la cruelle défaite de Richard Gasquet face à Stanislas Wawrinka en huitièmes de finale à Roland Garros (6-7, 4-6, 6-4 7-5, 8-6), le stade Centenario de Montevideo devrait être le théâtre de la 31ème sélection internationale de Yoann Gourcuff. Sa première depuis son entrée en jeu face à l’Italie en novembre dernier. Une belle façon pour le Lyonnais de clôturer une énième saison en demi-teinte. A condition que le gazon uruguayen lui apporte plus de bonheur que la terre-battue du Suzanne Lenglen n’en a apporté à Gasquet. Car malheureusement, entre les deux hommes, les parallèles se multiplient en refusant depuis trop longtemps de croiser les chemins de la réussite.

Une couv' à 9 ans

Apparus au plus haut niveau à une période où leur sport traversait une période de doute (échec de l’Euro 2008 pour les Bleus et toujours aucun espoir de victoire en grand chelem pour le tennis français), ce qui rapproche les deux hommes nés en 1986, ce sont d’abord les attentes folles placées en eux. Leur talent et leur technique font s’enflammer les Français qui les imaginent très vite au sommet de leur sport. Si les espoirs misés sur Gourcuff furent beaucoup moins précoces que ceux placés sur Gasquet et sa couverture de Tennis Magazine à neuf ans, les bilans sont pour l’instant identiques : les deux surdoués ne confirment pas. Donc ils déçoivent. Leur technique, que tous les observateurs s’accordent à placer parmi les plus sûres dans la hiérarchie mondiale, ne suffit pas. Qu’il s’agisse de la victoire face à Roger Federer à Monte-Carlo en 2005 de Gasquet ou de l’incroyable but de Gourcuff face à la Roumanie en 2008, leurs débuts éblouissants sur la scène mondiale ne sont aujourd’hui, à 26 ans seulement, que de lointains souvenirs.

L’amour du beau geste

Cet amour partagé du beau geste, de la technique de précision, c’est à leur père que les deux athlètes la doivent. Prof de tennis pour l’un, entraîneur de football pour l’autre, les paternels ont en commun le désir de voir leur progéniture traiter la balle en artiste plutôt qu’en besogneux. Francis Gasquet, père de, qui est venu au tennis sur le tard, possède ce que les jeunes impertinents appellent « un jeu de vieux. » Un modèle qu’il ne veut surtout pas que son fils, qu’il entraînera jusqu’en 2001, reproduise. A l’inverse, il insistera sur la beauté du geste, celui qui fait qu’aujourd’hui, Richard possède ce qui est peut-être le plus beau revers du circuit. Du côté des Gourcuff, la science du mouvement, de la passe dans l’intervalle et du geste juste fait partie de l'ADN familial. Tout comme cette facilité à théoriser le jeu devant les micros autant qu’à se méfier des journalistes en dehors des obligatoires conférences de presse et passages en zones mixtes. Une peur des médias qui se retrouve chez Richard Gasquet. En tête à tête avec un intervieweur, il arrive même à l’actuel numéro 9 au classement ATP de littéralement se pétrifier.

Prendre du plaisir au travail

Une attitude qui trahit chez les deux sportifs une mentalité atypique. Cet amour de la performance techniquement aboutie, cette recherche permanente du geste parfait, qui scotche son adversaire en fond de court ou met ses coéquipiers sur orbite, c’est sans doute là que se situent les véritables buts de Yo et Richie. Gasquet, qui déclarait il y a peu à l’un de ses détracteurs qu’avoir atteint le 7ème rang mondial n’était pas exactement synonyme de carrière ratée, n’a, après tout, peut-être pas les mêmes objectifs que ceux que la pression populaire lui a imposés. Même chose pour l’ancien Bordelais, qui plus que de devenir « le nouveau Zidane », aspire peut-être tout simplement à s’amuser sur un terrain, comme cela ne lui arrive que trop rarement. Quitte à n’être qu’un très bon joueur évoluant dans la sérénité. C’est peut-être cela, le plus difficile.


Par Mathias Edwards(sofoot)

1 commentaire:

  1. Les journaleux c'est facile ils sont gracieuse
    ment payés le cul assis sur leur chaise. Pour
    Richard et Yoann car très talentueux il leur met
    te une pression pas possible. Pour moi à travers
    ces 2 joueurs c'est le talent qu'on assassine car ce sont des êtres humains et non des robots. V.

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