un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

Coucou, à tous mes visiteurs

Ici,on parle de Yoann ,du club où il joue ,de foot,de L' OL ,de L' EDF, (et pour les autres , si vous le voulez ,on peut en parler dans les commentaires ) et bien sûr dans le respect des uns et des autres .
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très privée" de Yoann ,ni sur des publications qui l'évoquerait sur des suppositions ,des extrapolations ou pour autre chose que le versant sportif hormis les actions en faveur d'associations ou si les infos viennent de lui par le biais d'ITW(,girondins tv,oltv ,c+,..etc ,reportages médias ou public pour des actions diverses et variées ).
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Les photos ne sont pas ma propriété et dans la mesure du possible ,j'essaie de mettre le nom du photographe ou de l'agence il y a : Mrs Mouillaud ,Guiochon ,O et L ,Afp, Iconsport ,Maxxx ,OlGirzgones . ,Facebook ....Getty image .....et d'autres
J'aime le foot depuis longtemps,et je suis très heureuse d'échanger et de partager avec vous .
COCO
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jeudi 16 janvier 2014

LFP et Libéro


LFP@LFPfr 2 h
- Vous avez décerné le plus beau but de la 20e journée à Yoann Gourcuff ! Bravo à lui ! cc
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RANK’N’OL #S02E33. Il n’y en avait peut-être pas besoin, mais l’OL a sorti son meilleur match de l’ère Rémi Garde pour éliminer l’OM en quarts de finale de la coupe de la Ligue (2-1).  Alors que la finale leur est quasiment offerte (Troyes se rendra à Gerland en demie) et qu’ils redeviennent crédibles aux yeux de la L1, les Lyonnais ne semblent mobilisés que pour un objectif : se faire plaisir. Ils le payeront tout ou tard. On les remboursera de bonne grâce.


Olympique Lyonnais
 1. Henri Bedimo. Quand Lyon était déjà à deux doigts de déboulonner Louis XIV pour installer sa statue place Bellecour, la France semblait ne pas mesurer l’ampleur de la saison monstrueuse d’Henri Bedimo. Maintenant, elle sait. Car Riton n’a pas laissé passé la chance de faire subir à Thauvin en prime time ce qu’il inflige à tous les autres chaque week-end dans l’anonymat du cinquième canal de beIN Sport. Le combat physique a évidemment assez vite été plié. Alors Bedimo a décidé de prendre l’ascendant techniquement. Pas de poésie sur le calepin : 11e, Bedimo enrhume Thauvin ; 32e, Bedimo refroidit Thauvin ; 38e, 41e, etc. L’ailier marseillais en a même fini par bousiller ses ballons tout seul. Ce qui ne l’empêchera pas d’aller loin. Les Marseillais, sans avoir vraiment besoin d’exagérer, voient Thauvin remporter plusieurs Ballon d’or. S’il est honnête, il pourra penser à en lâcher un à Bedimo.  Dans le progres Yo a 8 meilleure note .
 merci tunisiana tumblr et olgirlz gones


2. Yoann Gourcuff. Le beau football se déguste en slow motion. Avec Gourcuff, nul besoin d’une autre technique que la sienne pour décortiquer chaque mouvement, chaque touche. Tout est suffisamment classe pour qu’on n’en attende pas que ce soit efficace. Mais il faut savoir se méfier de l’usage abusif du romantisme. Alors on saura profiter, de peur que ce soit éphémère (quelle idée !), d’un Yo qui soigne ses stats. Sans jamais se renier : même seul à 1,50 mètre du but et devant un gardien à terre, Gourcuff envoie un exter’ délicieux. Sauf que la vraie force du garçon reste sa capacité à rendre tous les autres meilleurs. Sauf peut-être Miguel Lopes. Mais c’est bien le dernier à lui résister.



 3. Maxime Gonalons. C’est vrai que 17 millions, ça fait un paquet de fric. Surtout s’il s’agit de Gonalons. Du moins, celui que l’observateur de la Ligue 1 a eu le temps de peser et soupeser les soirs de match. Car du côté de Garde, il les vaut largement. Au point de se passer des espèces sonnantes et trébuchantes pour gagner quelques mois de rab’, synonymes d’ambitions maintenues dans les compétitions qui restent à jouer – des coupes, pour tout dire. On aimerait malgré tout savoir ce que les Napolitains ont bien pu voir chez le capitaine lyonnais pour être prêts à cracher autant de billets. D’autant qu’à l’échelle d’une partie, l’influence de Gonalons n’est pas aussi perceptible que celle de Gourcuff ou de Grenier. Pour qu’elle le devienne, il faudrait sans doute mettre en scène les matchs de Coupe de la Ligue comme ceux de NFL, en focalisant toute l’attention sur celui à qui revient de déclencher le premier mouvement, ce héros indépassable au sport US que reste le quarterback. En dehors des bouchons lyonnais, Gonalons n’a rien d’un héros. Sur ESPN, tout le monde le connaît. Il s’appelle Colin Kaepernick et fout déjà en l’air pas mal de repères, alternant le jeu long traditionnel et les courses de percussion à la moindre ouverture. Ce qui demande, en plus de la technique et de l’intelligence de jeu que se partagent les QB, une carcasse pour encaisser les chocs et des jambes pour envoyer la course. À son meilleur, c’est exactement ce qu’a su faire Gonalons pour donner le ton et le rythme de cette partie à l’OL. Ce qui, réflexion faite, pourrait bien valoir un bon petit paquet de fric…
 
4. Clément Grenier. Sans doute la plus grande incompréhension des années de domination. Il suffisait de passer la tête dans un des bars de la Croix-Rousse ou de Gerland les soirs de match pour avoir droit aux exploits de cette période glorieuse où les héros s’appelaient Chiesa et Di Nallo. N’importe quel mordu présent dans l’assemblée ces soirs-là vous laissait entendre que, bon, l’OL de Juni et de Govou pouvait bien y mettre les formes, aussi plaisantes soient-elles, la mélodie du 4-3-3 des années 00 ne vaudrait jamais les solos allumés du Prince de Gerland et du beau Serge. Pour tout dire, on a longtemps mis ces confidences qui sentent le mâcon et la mauvaise foi sur le compte d’une nostalgie qui a fini par nous rattraper à mesure que la domination a foutu le camp. Avant de se rappeler en voyant jouer Grenier et Gourcuff ces derniers matchs ce que ces anciens en aficion voulaient dire. Qu’on peut préférer, comme ce soir, ce jeu qui sait émerveiller comme nul autre Gerland à coups de passes bien avant la certitude de la victoire. Ou, tiens, un coup franc de Clément à ceux de Juni parce qu’il a le bon goût de finir en passe dé’ pour un exter’ de Yo’.
 5. Alexandre Lacazette. D’accord, Ray a tendance à voir ce qui continue d’échapper au reste de l’humanité. Un jour d’interview dans So Foot, il en est arrivé à justifier la présence de Govou en sélection pour la qualité de son jeu de tête ou celle de Toulalan pour la précision de son jeu long. Même à Gerland, on cherche encore des traces de l’un et l’autre. Alors, quand il envoie à coups de tweets Lacazette au Brésil au nom de sa belle polyvalence sur le front de l’attaque, on se méfie. D’abord parce qu’on tient en très haute estime ces accélérations qui savent dynamiter une ligne, parfois deux – comme sur le but de Gomis à la 74e – et son rôle d’homme en colère quand les autres se la jouent parfois un peu trop esthètes faciles. Ensuite parce que c’est précisément sur cette idée que Jimmy Briand a pu être appelé chez les Bleus sous le mandat Domenech et qu’il y a laissé une partie de sa carrière – pour une sortie ravagée de Carrasso à l’entraînement. Ouais, on est sensibles à certaines correspondances comme Ray a pu l’être avec la page horoscope de Télé Poche. On ne pourra pas lui reprocher d’apprécier les prestations abrasives qui sentent le don de soi et qui servent à reconnaître le supporter qui se cache aussi sous l’observateur. Ce qu’il faut bien nommer un cœur de rankeur.
 Par Pierre Prugneau et Serge Rezza

2 commentaires:

  1. J'ai trouvé yoann très très bon hier. je me contente d'être heureuse de voir qu'enfin les blessures l'oublient et le laissent enfin retrouver toute la palette de son talent.
    Honnêtement je ne lui souhaite pas d'être en EDF la mentalité qui y règne ne lui serait que néfaste .
    Ne tirons pas des plans sur la comète et soyons heureux qu'il s'impose par son talent et qu'il continu à faire fermer leur bouche aux détracteurs qui ne le suivent que pour épier une erreur dans le jeu ou lors d'une com.
    Lc

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  2. Y avait clairement pas photos hier soir entre les deux équipes.

    Soi disant on joue toutes les coupes ouai enfin ça nous arrange de se faire éliminer vu le match ...va savoir pourquoi mais bon je ne comprends même plus la logique du club.

    Bon côté lyonnais le milieu a été énorme que ce soit Gonalons ou Grenier c'était du lourd. Alors voilà quand le 6 et le 8 cartonnent forcément le 10 est extraordinaire.

    Je disais encore hier matin que celui qu'il fallait surveiller c'était Gourcuff, on a rit...ils ont pleuré hier soir.
    Le but en renard des surfaces ça c'est aussi un but période bordelaise. Et que dire de l'action du 2ème but superbe sublime le foot quoi !!!!

    Voilà que ça continue...pour Yo !!!!

    Moi hier sa perf m'a réconforté...

    L.

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