http://www.leliberolyon.fr/patrice-lair-je-ne-mappelle-pas-patrice-courtois/
ENTRETIEN. « Tiens, je n’ai même pas bu mon café. »
Et après 3h15 de discussion sur la terrasse de sa maison à
Saint-Genis-Laval, ça fait longtemps que l’expresso de Patrice Lair est
froid. Le coach de l’OL féminin, lui, est toujours chaud quand il s’agit
de parler ballon. De son amour de jeunesse pour le Stade Rennais, de sa
carrière de joueur « qui mettai(t) quelques pains », de son
passage en Afrique, etc. Et de cette grande gueule qu’il assume même si
elle fait parfois oublier qu’il est avant tout un entraîneur. Tout
court. Et qui sait ce qu’il veut. (1/2)
« Mon rêve, c’est d’entraîner le Stade Rennais »
Comment est venue ta passion du foot ?
Mon père m’a amené une fois au match à Rennes quand j’avais 5 ans.
C’est devenu mon équipe. Mon rêve, c’est d’entraîner le Stade Rennais.
Je n’ai connu que le vieux stade de la Route de Lorient. L’époque des
Rennes-Marseille avec Magnusson et Skoblar, les derbys contre Nantes,
etc. C’était mes dimanches après-midi ça ! Et la dernière coupe de
France de Rennes face à l’OL (1-0 en 1971) avec André Guy,
boum, qui tape dans le sol. J’en parle encore souvent avec Robert
Valette. C’était une autre époque, c’était la fête et c’est vraiment ce
qui m’a amené à aimer le football.
Qui était le joueur Patrice Lair ?
J’étais milieu défensif, j’ai joué sept ans à Saint-Brieuc (de 1978 à
1985), notamment en D3 à l’époque. Techniquement, je n’étais pas trop
mal, mais je mettais quelques pains aussi. J’aurais peut-être pu passer
le cap même si j’ai eu deux fractures tibia-péroné, la première à 19 ans
alors que j’étais en contact avec le centre de formation de Nantes.
Ne pas avoir goûté au monde professionnel en tant que joueur, ça reste un grand regret ?
Non, je n’ai jamais été trop assidu. J’aimais bien jouer, mais
décontracté quoi. Autant je suis très rigoureux en tant qu’entraîneur,
autant j’avais du mal à faire deux ou trois entraînements par semaine à
l’époque. Il n’y avait pas tout cet argent, c’était beaucoup plus cool.
Ça me bottait autant de jouer avec l’équipe réserve ou même l’équipe 3
de Saint-Brieuc qu’avec la première car ça restait vraiment un jeu pour
moi. Je n’en avais rien à cirer de jouer au plus haut niveau possible.
« Des milieux comme Alou Diarra, je leur fous un coup de fusil ! »
Tu as toujours réussi malgré tout à vivre du football ?
Déjà, les études, ça n’a jamais trop été mon truc. J’ai eu la chance
d’avoir un père médecin, j’avais quand même une vie assez facile. À
Saint-Brieuc, par exemple, on prenait pas mal d’argent au black. C’était
une époque où on ne regardait pas trop l’Urssaf, ces trucs-là. Il n’y a
qu’en jouant à Avranches (de DH à D3 entre 1985 et 1987) que j’ai
travaillé à côté du foot, en donnant des cours dans un sport-études.
C’est là que j’ai commencé à passer mes diplômes d’entraîneur. J’aimais
déjà bien m’occuper des jeunes. J’étais plus compétiteur avec eux que
lorsque j’étais moi-même sur le terrain.
Ta philosophie de jeu ressemblait-t-elle à celle que tu as aujourd’hui ?
J’ai toujours eu le goût du jeu, la technique et l’envie d’être porté
sur l’offensive. Même à sept avec ces jeunes, on ne défendait pas
beaucoup, en général à deux derrière avec un gardien très haut. Ça me
sert encore aujourd’hui avec mes filles : quand je fais des petits jeux,
je mets toujours plus d’attaquants que de défenseurs. C’est mon
équilibre.
Que ressens-tu devant ta télévision lorsque tu vois Domenech
remplacer Vieira par Alou Diarra en finale de Coupe du monde 2006 ou
Laurent Blanc titulariser deux latéraux dans le couloir droit (Debuchy
et Réveillère) face à l’Espagne lors du dernier Euro ?
Dans les deux cas, tu transmets ta peur aux joueurs et tu remets
l’équipe en face en confiance avec ces choix. Dès ta composition de
départ, il faut que tu montres à tes adversaires que tu vas les projeter
dans le mur. Et puis des milieux comme Alou Diarra, je leur fous un
coup de fusil (sic) ! Il joue tout le temps sur le côté, il est
tranquille, il ne perdra pas un ballon. Même à 70 ans, tu me mets au
milieu, je sais faire des passes latérales ou en retrait. En France, on
manque de techniciens et de gens qui éliminent au milieu. On a vraiment
un problème de formation.
« En France, on ne sait même pas faire une touche »
Quel est le plus grand mal du football français selon toi ?
Il faudrait être capable de savoir autant jouer dans un petit
périmètre que sur du jeu long. C’est pourquoi de grands entraîneurs
comme Mourinho ou Guardiola font travailler les mêmes gestes à
l’entraînement. Les gars savent faire une passe, mettre un ballon dans
la course ou dans les pieds. Nous, en France, il n’y a pas de problème,
on sait tout faire (ironique). On met le ballon dans les talons
ou le genou, on ne sait même pas faire une touche, la base quoi. Une
passe doit mettre ton partenaire dans les meilleures conditions
possibles.
Quels entraîneurs as-tu tenu à rencontrer pour peaufiner ton passage de joueur à entraîneur ?
Je suis notamment allé voir Fred Hantz et Christian Gourcuff. Je
m’appuie pas mal sur son pressing et sa récupération. J’ai aussi vu
Halilhodzic, un mec costaud humainement. Enfin, Michel Der Zakarian est
un pote. Il va avoir bien besoin de sa niaque cette saison avec Nantes.
Quelles sont tes équipes références ?
La seule équipe qui m’ait vraiment impressionné, c’est le Brésil de
1970. Le football reste un spectacle, je l’ai toujours dit. Récemment,
plus que le Barça, j’ai trouvé le Bayern assez fabuleux par sa
puissance, sa vitesse et sa percussion sur certains matchs. Ça partait
de tous les côtés.
« Tactiquement, on propose une autre palette
que beaucoup d’équipes masculines »
As-tu un système préféré ?
Tu dois être capable de jouer de toutes les manières, mais j’aime
bien le 4-2-3-1. Si tu es intelligent, tu ne prendras jamais une tôle
avec ce système-là. Tu te replaces bien, tu peux jouer défensif comme
offensif, tu peux le passer en 4-4-2, en 4-3-3 ou en 3-5-2. C’est mon
système de base avec lequel j’ai gagné le plus de matchs. Parfois en D1,
j’ai aussi pu jouer en 3-2-5 à la Plaine des jeux. Là, les adversaires
ne savent plus où elles habitent, ça revient dans tous les sens !
Tactiquement, on propose une autre palette que beaucoup d’équipes
masculines. En L1, on reste toujours dans les mêmes systèmes, même quand
on prend le bouillon, c’est lassant. Tentez donc quelque chose ! L’an
dernier, je suis parti à la mi-temps de Gerland lors d’OL-Brest car
Brest était content de perdre 1-0 et n’avançait pas.
Tu vas souvent voir des matchs à Gerland ?
Non, je préfère regarder les matchs à la télé. C’est soûlant d’être
dans les tribunes et d’entendre tellement de conneries. Je serais
capable de me retourner ! Je regarde souvent la L2 en essayant de me
mettre à la place des coaches, plus que les chocs des championnats
étrangers car je me dis, avec modestie, que ce n’est pas mon monde.
Est-ce qu’il t’arrive d’échanger avec Rémi Garde ?
Non, j’étais plus proche de Puel. Déjà car il avait validé mon
arrivée (en 2010). On est toujours en relation. Je n’ai aucun problème
avec Rémi, on se dit bonjour et bonsoir. Il n’aime pas trop le football
féminin, c’est son choix.
Il faut dire que vos caractères semblent opposés. On a l’impression que Rémi Garde fait plus de politique…
À Lyon, il faut ça je crois. Moi je tiens le coup car j’ai des
résultats. Si je ne gagnais pas tout le temps, il y a longtemps que
j’aurais pris un coup de pied au derrière. Bon, personne ne m’emmerde
car tout le monde sait que je ne me gêne pas pour envoyer paître les
gens.
« L’histoire des casseroles a jeté un froid terrible »
Le président Aulas ne t’apprécie que pour tes résultats ?
Par moment, je pense qu’il aime bien mon caractère quand même. Il m’a
pris comme je suis dès le départ. Je lui dis toujours quand je ne suis
pas d’accord. Ça a chauffé plusieurs fois entre nous et je ne changerai
pas. Si tu n’as plus la mainmise, il ne faut plus être entraîneur. Si tu
n’es qu’une girouette, ce n’est pas la peine. J’ai encore deux ans (plus une année optionnelle) de contrat. On verra bien. Si on perd à Paris (dimanche 29 septembre), je serais peut-être viré le lendemain.
Paris ferait peut-être alors appel à toi ?
Peut-être mais je n’irai pas à Paris dans le football féminin.
Franchement non, je ne ferai pas ça à Lyon, pas à mes filles. J’ai une
certaine considération pour l’OL qui m’a permis d’être reconnu et de
gagner deux Ligues des champions, je ne l’oublierai jamais. Ce serait
plutôt l’étranger. Peut-être prendre un club aux États-Unis et viser la
sélection un peu plus tard. Cela aurait pu se faire l’année dernière
mais je dois m’améliorer en anglais. C’est un pays qui me tente. Après,
c’est le projet qui fera la différence. Il me faut quelque chose de
pétillant. Aujourd’hui, ce sont mes joueuses qui me retiennent, plus les
titres. Sans prétention, j’ai tout gagné ici.
Gardes-tu un pied dans le football masculin en suivant de l’intérieur l’OL ?
Je peux parfois voir une séance ou discuter avec un ou deux joueurs
mais pas plus. Je ne vais pas dire que j’ai l’impression de déranger
mais ma présence n’est pas toujours bien perçue. Je préfère rester
supporter. Je n’aime pas qu’on me dérange donc je ne vais pas aller
déranger les autres. Ça se passe bien mais il n’y a pas vraiment
d’atomes crochus quand même. C’est dommage mais je n’ai toujours pas
digéré l’histoire des casseroles.
Cette déclaration de Bernard Lacombe a marqué une vraie cassure dans votre lien à l’institution OL ?
Je ne suis pas comme avant. Ça m’a fait vraiment mal par rapport aux
joueuses, par rapport au fait qu’on ait pas mal sauvé l’image du club à
un moment. Bernard, lors de la photo officielle l’autre jour, il était
emmerdé, il n’osait pas trop s’approcher car il savait très bien qu’il
ne serait pas forcément bien accueilli. Moi, je fais peut-être des
petits dérapages, mais pas des comme ça quand même. Ça m’a empêché de
bouffer pendant deux jours à Malmö. Si j’avais été en France ce jour-là,
je me demande si je n’aurais pas été capable de démissionner. Ça a jeté
un froid terrible car on fait partie du même club. Désormais, je fais
mon truc de mon côté.
« Si on me propose l’équipe masculine de l’OL, je plonge »
L’isolement qu’a connu Claude Puel à l’OL pourrait te freiner à vouloir entraîner une grosse équipe dans le football masculin ?
La situation qu’il a connue à Lyon me ferait mal. Je le voyais manger
seul le midi. Ça doit être terrible de se sentir ainsi détesté. Tu fais
du foot, tu n’as tué personne ! Il y a une coupure à avoir…
Donc si on te propose demain d’entraîner l’équipe masculine de l’OL…
Je ne pense pas que j’ai beaucoup d’adeptes au sein du club mais si
ça arrive, je plonge, je n’ai pas peur de le dire. Mais pas avec les
mêmes personnes, ça c’est sûr.
Tu parles du staff ou des joueurs ?
De tout. Mais avec ce qu’il y a là, il y a moyen… Je tenterais
peut-être d’autres choses aux entraînements, ainsi qu’en préparation
athlétique. On manque un peu de percussion. Tout est souvent au même
rythme. Un gars comme Licha, on l’a mal utilisé. C’est quelqu’un qui a
besoin de jouer à son poste préféré. Si tu voulais qu’il donne tout, il
fallait le mettre dans les meilleures conditions possibles.
As-tu toujours fait pratiquer à tes équipes un jeu offensif comme aujourd’hui à l’OL ?
Non, je n’allais pas jouer avec trois attaquants si je n’avais rien devant. Avec la réserve du Stade de Reims par exemple (2000-2002),
je n’avais pas d’attaquant et on me demandait de jouer en 4-4-2… On
s’est débrouillés avec une pointe en jouant surtout le contre au début
et nous sommes restés invaincus, de la DH à la CFA2. Au point que
Jean-Pierre Caillot est le seul président qui m’ait dit un jour : « Le budget des primes est pété pour la réserve, il est peut-être temps de perdre. »
Un président qui te demande de perdre des matchs car il n’avait pas du
tout prévu qu’on monte, ça doit quand même être dans les annales ! Tu ne
peux pas faire n’importe quoi selon ton effectif. Si demain tu me dis
que je vais entraîner en L1, je préfèrerais prendre le potentiel du
Paris-SG – plutôt de Monaco d’ailleurs – que d’Évian-Thonon-Gaillard car
je vais pouvoir jouer de différentes façons.
« Je ne vais pas aller droit dans le mur avec les idées d’un autre »
Et si tu as la possibilité d’entraîner un club comme l’ETG ?
Si les dirigeants m’annoncent qu’ils peuvent injecter un peu plus de
moyens pour viser le top 7-8 voire plus après, OK. Mais, aujourd’hui, ce
club ne joue que le maintien – et je ne le vois pas bien s’en sortir
cette saison. Là-bas, il faudrait partir sur une base défensive pour
pouvoir progresser. Tu peux faire du spectacle tout en jouant le contre,
j’en suis persuadé. Il faut avoir assez de force mentale pour essayer
d’imposer tes idées. Je préfère me planter avec mes idées que changer
mon discours pour m’adapter à d’autres. Je ne vais pas aller droit dans
le mur avec les idées d’un autre. Je veux être libre.
Avec le départ d’Antonetti, tu n’as pas songé à exaucer ton rêve d’entraîner le Stade Rennais dès cet été ?
Non, moi je fais partie du foot féminin. Même si j’ai gagné deux
Ligues des champions et que j’ai dégommé pas mal d’équipes, ça n’a pas
le même impact. Je trouve ça un peu dommage. Car sans vouloir dénigrer
certaines personnes, je pense que je ferais aussi bien. J’ai changé
d’agent il y a peu car il m’a dégoûté en deux minutes en me disant : « Tu dois comprendre que ton football féminin, c’est du football amateur. »
J’aurais pu sauter sur une ou deux occasions en L2 mais j’ai peut-être
manqué de cran car je suis bien à Lyon. Il y a un côté affectif avec ces
filles qui m’ont donné entière satisfaction et j’ai des appointements
largement au-dessus d’un club de L2, voire même de L1.
Penses-tu que les dirigeants du football masculin verraient trop comme un pari la perspective de te recruter ?
Certains me font rigoler. J’ai gagné deux Ligues des champions avec
les filles, ce n’est quand même pas déshonorant, si ? A-t-on vraiment
une crédibilité ? Je me pose la question… Franchement, quand ils se
renseignent, ils voient qu’on n’arrive pas à me manipuler et ça gêne. Il
faut garder cette mainmise.
« Si j’avais vraiment voulu l’équipe de France,
j’aurais un peu ciré des pompes »
Ça pourrait te coûter des opportunités en or ?
Oui, à commencer par l’équipe de France féminine, il ne faut pas se
leurrer. Quand tu entends Le Graët te dire qu’il veut mettre quelqu’un
de courtois… C’est sûr, je ne m’appelle pas Patrice Courtois. Un gars
comme (Philippe) Bergeroo ne fait pas de vagues. J’espère que
quelqu’un voudra mettre un peu de folie et changer quelque chose dans
son équipe. Si j’avais vraiment voulu l’équipe de France, j’aurais un
peu ciré des pompes depuis un an et j’aurais peut-être eu le poste. Mais
je n’allais pas fermer ma gueule par rapport à Juvisy et d’autres qui
ne comprennent rien. Non, je veux faire avancer les choses. Mon Bini
n’est plus là, il y a Bergeroo qui vient du football masculin, ça va
déjà être mieux, il va y avoir une progression. Bon, j’ai entendu que
l’objectif fixé dans deux ans était une médaille. C’est déjà un manque
d’ambition. Il y a quatre ans, tu as fait 4e, là, il faut aller chercher le titre.
Je n'ai pas tout mis ,mais via le lien ,la suite est à lire aussi .
un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--
Coucou, à tous mes visiteurs
Ici,on parle de Yoann ,du club où il joue ,de foot,de L' OL ,de L' EDF, (et pour les autres , si vous le voulez ,on peut en parler dans les commentaires ) et bien sûr dans le respect des uns et des autres .
A LIRE: Si vous voulez que vos commentaires soient publiés : Pas de commentaires sur" la vie très privée" de Yoann ,ni sur des publications qui l'évoquerait sur des suppositions ,des extrapolations ou pour autre chose que le versant sportif hormis les actions en faveur d'associations ou si les infos viennent de lui par le biais d'ITW(,girondins tv,oltv ,c+,..etc ,reportages médias ou public pour des actions diverses et variées ).
Pas d'insultes ,ni de grossièretés ,ni d'allusions réprimées par la loi (raciste ,homophobes ...) SVP
Les photos ne sont pas ma propriété et dans la mesure du possible ,j'essaie de mettre le nom du photographe ou de l'agence il y a : Mrs Mouillaud ,Guiochon ,O et L ,Afp, Iconsport ,Maxxx ,OlGirzgones . ,Facebook ....Getty image .....et d'autres
J'aime le foot depuis longtemps,et je suis très heureuse d'échanger et de partager avec vous .
COCO
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RépondreSupprimeril a un franc parler qui me plait,j'ai eu un petit pincement au coeur quand il a parler de la situation de puel je trouve vraiment pas correct la façon dont il a été traité!
lana
moi non plus et je garde en mémoire le dernier match à Gerland où sa femme a été "conspué" ! honteux !
RépondreSupprimerPuel , on l'aime ou pas ,ok ,mais je reste persuadée que si à l'OL,il n'avait pas eu autant de peau de banane ,il aurait pu faire du très bon taf ! Il a quand même été en 1/2 finale de LDC !
Lair a un fichu caractère mais il ne lâche pas ses troupes même s'il est pourtant dur avec les filles ,elles savent que c'est pour elles qu'il est ainsi ,lui n'a pas de préférence et pas de comportement de starlette non plus ,il veille au grain ,la mise au banc pour lui ,il y a de vraies raisons ,il ne les cachent pas !
Voilà ,des gars comme lui et quelques autres font du bien à ce sport !
J'aime les mecs comme lui...pas les hypocrites made in Garde...
RépondreSupprimer"Un gars comme Licha, on l’a mal utilisé. C’est quelqu’un qui a besoin de jouer à son poste préféré. Si tu voulais qu’il donne tout, il fallait le mettre dans les meilleures conditions possibles."...
Y a pas que Lisandro...
"La situation qu’il a connue à Lyon me ferait mal. Je le voyais manger seul le midi. Ça doit être terrible de se sentir ainsi détesté. Tu fais du foot, tu n’as tué personne ! Il y a une coupure à avoir…"
Ah oui c'est allé jusque là ? Et après c'est Gourcuff le taré !
"Il faut dire que vos caractères semblent opposés. On a l’impression que Rémi Garde fait plus de politique…"
Y a pas que le caractère y a les compétences aussi...ce mec sert à rien, il jouit d'une bonne image dans le milieu qui me dépasse. Il est pourri, bidon. Puel et pourtant je suis pas fan est 100 fois meilleur...regardez ce qu'il fait à Nice...l'autre il est toujours entrain de se chercher des excuses. Il a viré les stars car il avait pas le caractère pour les diriger...maintenant il te dit "ouai mais j'ai que des jeunes dans mon équipe" pour excuser les perf minable de l'ol. C.Gourcuff a le même effectif il finit largement 3ème. L'autre c'est à peine s'il sauvera la 5ème place. C'est le bouffon du roi...je ne lui trouve aucune excuse si ce n'est celle de l'incompétence !
Merci Coco pour cet interview ;)
L.