Yoann dans le 4-4-2 !!ce ne evrait pas être un problème !!!

 La Star à Lyon c'est le système !!!! Tant mieux pour YOANN

Pour l'OL, l'objectif à court terme cette saison est de se qualifier en Ligue des champions. Coincé entre les matches aller et retour du barrage, le déplacement à Brest peut être le plus délicat à gérer au niveau du choix des hommes. Que Garde décide ou non d'inclure du sang neuf dans son onze de départ, il ne modifiera certainement pas un aspect de son équipe : son organisation tactique. Adopté dès sa prise des commandes, le 4-4-2 a écarté l'historique 4-3-3 à la lyonnaise (qui avait déjà évolué sous l'ère Puel).

Pjanic : « Le discours passe bien. Il nous dit de nous lâcher, c'est ce qu'on n'a pas su faire ces dernières années. »

Au vu des trois premiers matches officiels, ce système fonctionne. Et satisfait le coach. « Les repères commencent à se mettre en place dans cette configuration, dit-il. Je vais garder ma ligne de conduite, je n'ai pas de raison de changer pour changer. Dans deux ou trois mois, on sera peut-être sur autre chose. » Plus tôt, Garde devra gérer le retour de Yoann Gourcuff. L'intronisation du 4-4-2 a été facilitée par l'absence, durant la préparation, de meneur de jeu (Grenier, Pjanic, Gourcuff, Ederson). Où les positionner une fois sur pieds ? « Je me refuse d'assimiler des joueurs à un système, répond Garde. Des joueurs talentueux et en forme peuvent être performants dans n'importe quel système, pourvu que tout le monde soit au service de l'équipe. C'est ce qu'a très bien fait Mire (Pjanic) quand il est rentré. »

C'était contre Ajaccio et Kazan. À Brest, le Bosnien devrait retrouver une place de titulaire. Son poste préféré a beau être milieu offensif près des attaquants, il se fond dans le collectif. « Je m'adapte au schéma de jeu », insiste Pjanic qui avoue se sentir « libéré ». « Contre Rubin, je suis rentré dans le couloir. Il (Garde) me laisse la liberté de repiquer dans l'axe et si je dois libérer le couloir pour les montées du latéral, ça se passe sans souci. » En un mot, finie la rigidité chère à Claude Puel et qui a usé les joueurs. « Il n'y en a plus du tout », précise Pjanic avec un sourire qui en dit long, avant de rajouter : « Le discours passe bien. Il nous dit de nous lâcher, c'est ce qu'on n'a pas su faire ces dernières années. » - Sylvain LARTAUD, à Lyon 

 Sur l'équipe papier ,il y a un article sur le Miréééééchèri :titre :"Que faire de Pjanic"et où on apprend ce qu'a dit l'entraîneur de l'équipe de Bosnie , Susic :"lors du rassemblement d'y il a une dizaine de jours ,il ne savait pas encore s'il allait rester et je lui a déconseillé de partir à Wolfsburg ",mais au moins à la fin de l'article ,il y a le rappel de la blessure de Yo et ils disent qu'il sera de retour dans 2 semaines.