Yoann Gourcuff portera-t-il à nouveau le maillot girondin ? Crédits photo : Panoramic
Lyon devrait rapidement transmettre une offre de 20 millions d'euros aux dirigeants bordelais pour le transfert de Yoann Gourcuff, remplaçant dimanche soir au Parc des Princes et désireux de quitter la Gironde.
«On verra, on verra». Petit sourire en coin, Yoann Gourcuff, sagement assis sur le banc des Girondins, a botté en touche dimanche soir au moment d'évoquer son avenir au micro de Canal +. Mais il y a des silences qui en disent long… Tout comme le fait de retrouver l'international français dans la peau d'un simple remplaçant au Parc des Princes. Entre Gourcuff et Bordeaux, l'idylle semble toucher à sa fin.
Plus de clause libératoire
Comme le révélait L'Equipe dans son édition dominicale, le meneur de jeu a bel et bien rencontré son président, Jean-Louis Triaud, samedi. Pour lui faire part de ses envies d'ailleurs avec comme possible point de chute l'Olympique Lyonnais. Jean Tigana l'a confirmé dimanche soir dans les coursives du Parc des Princes. «Il est allé voir le président samedi pour lui demander de partir. Pour moi, il devait jouer, mais il s'est finalement retrouvé sur le banc car c'est une situation difficile, a expliqué l'entraîneur bordelais. On ne dit pas cela à la veille d'un match important comme celui de Paris après deux défaites». Entré en jeu à la 73e minute, Gourcuff a su mettre ses états d'âme de côté pour se montrer décisif avec un corner déposé sur la tête de Michael Ciani, synonyme de but de la victoire (1-2). Une passe décisive sous forme de cadeau d'adieu ? Même si Jean-Louis Triaud s'est refusé à tout commentaire, afin d'éviter «de rentrer dans le jeu des Lyonnais», le dossier Gourcuff pourrait s'accélérer dans les prochaines heures. D'autant plus que la clause libératoire du joueur fixée à 26,5 millions d'euros s'est éteinte le 31 juillet.
Comme le révélait L'Equipe dans son édition dominicale, le meneur de jeu a bel et bien rencontré son président, Jean-Louis Triaud, samedi. Pour lui faire part de ses envies d'ailleurs avec comme possible point de chute l'Olympique Lyonnais. Jean Tigana l'a confirmé dimanche soir dans les coursives du Parc des Princes. «Il est allé voir le président samedi pour lui demander de partir. Pour moi, il devait jouer, mais il s'est finalement retrouvé sur le banc car c'est une situation difficile, a expliqué l'entraîneur bordelais. On ne dit pas cela à la veille d'un match important comme celui de Paris après deux défaites». Entré en jeu à la 73e minute, Gourcuff a su mettre ses états d'âme de côté pour se montrer décisif avec un corner déposé sur la tête de Michael Ciani, synonyme de but de la victoire (1-2). Une passe décisive sous forme de cadeau d'adieu ? Même si Jean-Louis Triaud s'est refusé à tout commentaire, afin d'éviter «de rentrer dans le jeu des Lyonnais», le dossier Gourcuff pourrait s'accélérer dans les prochaines heures. D'autant plus que la clause libératoire du joueur fixée à 26,5 millions d'euros s'est éteinte le 31 juillet.
A Lyon dès mardi ?
Une révélation signée Nicolas de Tavernost, actionnaire majoritaire du club, dans les colonnes de Sud-Ouest samedi qui change totalement la donne. Lyon, qui a distillé depuis plusieurs semaines quelques indices sans se manifester officiellement auprès du club girondin, est désormais en position de force. Avec un joueur désireux de rejoindre les bords du Rhône et un potentiel vendeur qui ne peut désormais plus se retrancher derrière cette fameuse clause libératoire. L'OL devrait ainsi proposer ce lundi une somme plus en adéquation avec le prix du marché, à savoir autour de 20 millions d'euros. Bordeaux peut évidemment rester ferme et refuser de renforcer un concurrent direct pour la Ligue des Champions, «objectif vital», dixit Nicolas de Tavernost. Mais il parait peu probable de voir les Girondins s'engager dans un bras de fer et retenir contre son gré l'international français. Surtout avec un déficit prévisionnel de l'ordre de 15 millions d'euros.
Une révélation signée Nicolas de Tavernost, actionnaire majoritaire du club, dans les colonnes de Sud-Ouest samedi qui change totalement la donne. Lyon, qui a distillé depuis plusieurs semaines quelques indices sans se manifester officiellement auprès du club girondin, est désormais en position de force. Avec un joueur désireux de rejoindre les bords du Rhône et un potentiel vendeur qui ne peut désormais plus se retrancher derrière cette fameuse clause libératoire. L'OL devrait ainsi proposer ce lundi une somme plus en adéquation avec le prix du marché, à savoir autour de 20 millions d'euros. Bordeaux peut évidemment rester ferme et refuser de renforcer un concurrent direct pour la Ligue des Champions, «objectif vital», dixit Nicolas de Tavernost. Mais il parait peu probable de voir les Girondins s'engager dans un bras de fer et retenir contre son gré l'international français. Surtout avec un déficit prévisionnel de l'ordre de 15 millions d'euros.
Quel impact sur le groupe bordelais ?
A une semaine de la clôture du marché des transferts, une partie de poker menteur risque de s'opérer, Bordeaux n'ayant nullement l'intention de brader un joueur acheté 15 millions d'euros au Milan AC il y a deux ans. Mais le temps est compté. Notamment pour trouver des solutions de replis. Les noms du Lillois Yohan Cabaye et du Nancéien Julien Féret reviennent avec insistance. Reste à savoir quel impact aura le départ de Gourcuff sur le reste du groupe ? Certains cadres et non des moindres pourraient s'interroger sur le manque d'ambition du club au scapulaire. Fernando Cavenaghi, pisté par Sunderland, Alou Diarra, qui n'a peut-être pas totalement mis de côté ses envies d'ailleurs et Wendel, qui affirme haut et fort avoir fait le tour de la question à Bordeaux - «J'ai le sentiment qu'il est temps pour moi de connaître autre chose, d'aller voir ailleurs», dans les colonnes du Parisien dimanche pourraient eux aussi compliquer les plans des dirigeants bordelais…(le figaro)
A une semaine de la clôture du marché des transferts, une partie de poker menteur risque de s'opérer, Bordeaux n'ayant nullement l'intention de brader un joueur acheté 15 millions d'euros au Milan AC il y a deux ans. Mais le temps est compté. Notamment pour trouver des solutions de replis. Les noms du Lillois Yohan Cabaye et du Nancéien Julien Féret reviennent avec insistance. Reste à savoir quel impact aura le départ de Gourcuff sur le reste du groupe ? Certains cadres et non des moindres pourraient s'interroger sur le manque d'ambition du club au scapulaire. Fernando Cavenaghi, pisté par Sunderland, Alou Diarra, qui n'a peut-être pas totalement mis de côté ses envies d'ailleurs et Wendel, qui affirme haut et fort avoir fait le tour de la question à Bordeaux - «J'ai le sentiment qu'il est temps pour moi de connaître autre chose, d'aller voir ailleurs», dans les colonnes du Parisien dimanche pourraient eux aussi compliquer les plans des dirigeants bordelais…(le figaro)
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