un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

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vendredi 10 octobre 2008

octobre 2008....souvenirYoann Gourcuff voit la vie en bleu (ouest france)


Yoann Gourcuff voit la vie en bleu (ouest france)



Un beau gosse. Jeune et riche. Du haut de ses 22 ans, le Breton Yoann Gourcuff a tapé dans l'oeil de celles qui, récemment, ont découvert ce joueur de l'équipe de France de football. Portrait d'une nouvelle star. À voir ou revoir ce soir, en bleu, contre la Roumanie.

Tout petit déjà, comme le souligne sa maman, Marine Thalouarn, « il lui fallait un ballon. Je me souviens d'une balle de mousse que Yoann ne lâchait pas et que je dois encore avoir à la maison ». Rien de surprenant quand on sait que Christian, son père, a été footballeur professionnel et que maman a été joueuse de basket d'un bon niveau.

Mais contrairement à ce que l'on peut croire, c'est d'abord sur les courts de tennis que Yoann Gourcuff, né le 11 juillet 1986 à Ploemeur (Morbihan), s'est illustré. Jusqu'à être le meilleur jeune joueur breton à 12 ans. Du talent dans les bras et dans les jambes. « À un moment, il avait une activité physique tous les jours, du lundi au dimanche. C'était trop. Il fallait faire un choix », explique celle dont il reste proche.

Ce sera le foot. « Pas pour devenir professionnel, jure-t-il aujourd'hui en riant. Je n'y pensais pas. Juste pour le plaisir de jouer avec les potes ». Pas question de se la jouer perso. « J'étais assez fluet et comme j'affrontais des gars plus costauds, il fallait que je voie vite avant d'être confronté au contact physique ». La rapidité, l'anticipation, la passe juste pour le partenaire mieux placé... Des qualités qu'il exprime aujourd'hui avec les Girondins de Bordeaux ou en équipe de France.

Avant d'en arriver là, il lui a fallu grandir, mûrir. Au foot, il ne suffit pas d'être un bon coureur à pied pour faire la différence. Il faut du tempérament et un solide caractère. Yoann en a à revendre. « Je suis fier et têtu et je ne supporte pas l'injustice », dit-il. Ainsi quand, voilà quelques années, son père alors entraîneur du stade rennais a été viré en pleine saison, il avoue avoir été très marqué : « J'en voulais à tout le monde. Aujourd'hui encore, quand j'y pense ça me fait mal. Car, plus ça va plus j'ai de l'admiration pour lui. »

Une admiration réciproque. « Les deux dernières saisons, à Milan, il a acquis une expérience que certains n'acquièrent pas en 15 ans », note son père avec fierté. La maman joue l'arbitre : « Ils ont des points communs. Ils sont réservés, entiers, francs... »

Son père, sa mère, Yoann sait ce qu'il leur doit. « Lors de mon premier match en équipe de France, j'ai eu une pensée pour eux. Je leur suis vraiment reconnaissant de m'avoir laissé cette liberté de choix depuis mon plus jeune âge. À 12 ans, je suis parti au centre de préformation de Ploufragan, près de Saint-Brieuc. Puis, plus tard, au Stade Rennais avant de rejoindre le Milan AC ».
Une décision prise seul. Après en avoir quand même discuté avec papa et maman. Marine Thalouarn confirme : « J'avais peur de le voir seul à l'étranger. Je lui conseillais plutôt d'aller à Lyon ».

Yoann Gourcuff ne regrette pas son choix. « J'ai vécu quelque chose d'extraordinaire à Milan. Le foot, la ville, le pays, tout était fabuleux. J'espère même y retourner un jour ». Évidemment, en Italie il a dû faire face à un nouveau statut. L'argent ¯ à l'époque il touchait 80 000 € par mois ¯, la fougue des journalistes, la folie des tifosi (supporters italiens)... Depuis, et encore plus en rejoignant l'équipe de France, il est devenu une star. Belle gueule qui plus est. Intéressant pour la presse people. Jusqu'à lui prêter récemment une liaison avec Laure Manaudou. « Nous avons le même avocat. Elle est venue voir deux matches à Bordeaux. C'est parti de là », a-t-il précisé cette semaine lors du rassemblement des Bleus à Clairefontaine.

La star montante du foot français vit dans un autre monde où les matches se succèdent tous les trois jours. Peu de temps pour faire autre chose. « Ce qui m'arrive est exceptionnel. Tout gamin en rêve. Mais je veux absolument garder ma fraîcheur mentale et physique. Rester libre. Bien sûr, il y a l'argent. Ce n'est pas le but de ma vie. Je fais quelques placements dans l'immobilier, sans faire des folies. Je veux garder les pieds sur terre ».

Pour cela, une seule méthode : le retour à ses racines dans le pays de Lorient où il a grandi jusqu'à 14 ans. Où il retrouve ses potes d'enfance dès que possible. Ils n'ont pas changé. « Certains sont toujours dans le foot. D'autres pas du tout. Avec eux, je passe des moments simples. Et ça, c'est génial. Des bonheurs simples. J'adore. J'en ai besoin pour me ressourcer ».

Il y a huit jours, après le match Bordeaux-Lorient, il a fait la fête avec sa tribu d'enfance. La soirée s'est prolongée tard dans la nuit. Le match face à la Roumanie de ce soir n'était pas au coeur des conversations. Tout juste a-t-il évoqué le projet de revenir un jour en Bretagne terminer sa carrière. « Je me vois bien finir à Rennes où à Lorient. Après ? Ouvrir un restaurant ou un hôtel. En Bretagne, bien sûr ! » Pour encore et toujours retrouver les siens.(via gourcuffenforec)

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