un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

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dimanche 27 novembre 2016

ITW de Yoann Gourcuff dans Ouest-France

http://www.ouest-france.fr/sport/football/stade-rennais/yoann-gourcuff-c-est-frustrant-d-avoir-un-physique-qui-limite-4640358


Yoann Gourcuff : "C'est frustrant d'avoir un physique qui limite"


  • Yoann Gourcuff s'est longuement exprimé, dimanche, entre Rennes - Toulouse et Lorient - Stade Rennais.
    Yoann Gourcuff s'est longuement exprimé, dimanche, entre Rennes - Toulouse et Lorient - Stade Rennais. | Photo : Philippe Renault / Ouest-France
Benjamin IDRAC

Yoann Gourcuff a évoqué longuement l'actualité du Stade Rennais, dimanche matin, au surlendemain de la victoire de Rennes contre Toulouse, se livrant également sur sa situation personnelle, ses sensations dans le jeu et son père Christian. Le milieu de terrain, qui eu 30 ans cet été, a indiqué qu'il n'était pas certain de débuter, mardi, à Lorient.
Yoann Gourcuff, comment jugez-vous le succès face à Toulouse (1-0), vendredi ?
C'est bien d'avoir gagné après un nul frustrant contre Angers (1-1) où le scénario avait été cruel et avait généré pas mal de regrets. Il fallait repartir de l'avant contre Toulouse. Cette victoire nous fait du bien au niveau des points et j'espère au niveau de la confiance. Après, on est lucides et conscients qu’on n’a pas fait un grand match, mais il y a aussi un adversaire, qui nous a posé des difficultés sur le jeu proposé.
On n’a pas été non plus archidominés, mais, dans l’utilisation du ballon, on le perdait assez vite, donc ça a donné un match assez décousu, très âpre, avec beaucoup de duels, alors que nous, on recherche un jeu fluide, de passes en mouvement. On n'a pas réussi à le faire. On n’a pas fait les bons choix par moments.
Des fois, il y a des moments où il faut savoir la mettre un peu plus dans la profondeur parce l'adversaire nous met sous pression, qu’ils viennent nous chercher, même si on veut jouer au foot et repartir de derrière. Quand on la perd dans la zone de construction, c’est très dangereux. Il faut faire des choix intelligents et pertinents, savoir quand on peut ressortir de derrière et faire le jeu qu'on souhaite, ou quand la situation ne le permet pas parce que l'adversaire est sur nous et que, là, il faut trouver d’autres moyens pour surtout ne pas nous mettre en danger, car, si on la perd loin de notre but avec notre bloc, au moins de huit, de quatre et quatre lignes, ce n'est pas pareil que si on perd le ballon dans nos trente mètres en voulant repartir de derrière.

Contre Toulouse, les Rennais n'ont pas brillé mais ont tout de même décroché les trois points.
Contre Toulouse, les Rennais n'ont pas brillé mais ont tout de même décroché les trois points. | Photo : Philippe Renault / Ouest-France.
C’est là qu’on a des progrès à faire, puis on doit retrouver aussi un bloc-équipe plus comptact, être plus proches les uns des autres entre nos lignes de défense, du milieu et d'attaque.
Pour défendre comme pour attaquer. On défendra mieux et attaquera mieux quand on sera plus proches les uns des autres. Là, plus le match avance, plus les lignes s'étirent et cela crée des possibilités pour l'adversaire. Alors que nous, quand on veut jouer, on est souvent loin et on a du mal à combiner, c'est plus difficile pour le faire.

« Un joli but collectif »

Pouvez-vous nous raconter l'action du but ?
C'est une belle action collective, déjà. Avant la finition, il y a un bel enchaînement de passes à une ou deux touches de balle sur le côté droit. Ça commence avec Adrien (Hunou), puis Romain (Danzé) trouve en une touche Giovanni (Sio), qui la conserve bien et fait un bon changement de jeu avec une transversale pour Paul-Georges (Ntep) de l’autre côté, donc ça nous met tout de suite bien, on peut avancer. Après, Paul-Georges rentre tout de suite dans l’axe, il fixe un petit peu, il attend et, après, il fait une passe entre les jambes du défenseur pour me trouver.
Moi, je fais un contrôle vers l’avant, après je sens qu’il y a un défenseur qui revient sur moi, donc j’essaye d’être le premier sur le ballon et après de frapper comme je peux, quoi. L’appui m’oblige à frapper extérieur pied droit, alors que si je fais un appui de plus pour frapper pied gauche, je ne suis pas sûr d'être le premier sur le ballon ou de pouvoir frapper ainsi, donc, voilà, ça fait un joli but collectif, c’était sympa.

Incertain pour Lorient

À quel genre de match vous attendez-vous contre Lorient ?
Je ne sais pas. On va se concentrer sur nous, sur ce qu’on fait bien et ce qu’on doit mieux faire. Sur ce qu'on doit mieux gérer dans les matches. On a une marge de progression. On cherche à bien jouer au football, mais, dans ce championnat, il y aura des matches où on ne pourra pas toujours le faire, même si c'est ce qu'on recherche à travers les entraînements. On sait très bien qu'il y a une opposition, un adversaire et que les jours où on sera un peu moins bien, et ça arrivera, on essayera aussi de jouer, mais on ne jouera pas très bien.
Après, il y a des valeurs de solidarité à mettre en avant. Gagner 1-0 contre Toulouse dans la difficulté, c’est très encourageant dans l'état d'esprit du groupe, de l'équipe, dans la solidarité… Dans la difficulté, on a su tenir, ce sont des valeurs importantes dans une saison.
Après, il y a aussi la recherche de solidité défensive. Plus on aura confiance sur notre assise défensive, mieux on jouera et plus on sera dangereux offensivement aussi. Tout est lié. Si on est solides derrière, qu'on a confiance dans notre assise défensive, qu'on ne concède pas grand-chose à l’adversaire, on pourra avoir plus de confiance dans notre manière de jouer, accompagner plus les actions offensives et être plus dangereux offensivement.
Sur ces deux matches, Angers et Toulouse, même si on n’a pas extrêmement bien joué, il y a quand même des valeurs de solidité, solidarité, on s'arrache les uns pour les autres, c’est aussi très important. On veut bien jouer au football, mais un résultat comme ça, c'est bien aussi. Ça montre que tout le monde est concerné, fait les efforts pour l’équipe, le collectif.

Yoann Gourcuff n'est pas sûr d'être titulaire à Lorient, mardi.
Yoann Gourcuff n'est pas sûr d'être titulaire à Lorient, mardi. | Photo : Philippe Renault / Ouest-France.
Allez-vous enchaîner une quatrième titularisation d'affilée à Lorient ?
Je ne sais pas, on va voir demain (lundi) et mardi. Contre Angers, j’avais joué 70 minutes, je n’étais pas forcément extrêmement fatigué ; par contre, celui contre Toulouse vendredi, vu le scénario et le match que c'était avec beaucoup de contacts, d’impact, de duels et de courses, beaucoup de volume, on a beaucoup couru... On verra comment je vais récupérer, on verra avec le staff, j'ai aussi reçu un coup derrière le genou.

« Un relais pour l'équipe »

Depuis quinze jours, vous enchaînez les séances d'entraînement.
J’ai pu enchaîner quelques entraînements sans douleur, c’est quand même plus facile, ça permet de pouvoir donner plus à l’entraînement. Après, je suis lucide et conscient que je suis encore loin d’être à mon maximum. Souvent, c’est frustrant d’avoir un physique qui me limite dans mon expression sur le terrain. Mais il faut aussi savoir prendre du recul, rester positif en se disant que c’est déjà bien de pouvoir s’entraîner, de jouer les matches.
Mais, des fois j'aimerais donner plus, faire plus de choses sur le terrain. Mais, bon, c’est déjà bien que je puisse jouer, j'essaye d’être généreux dans l’effort, de courir, d'être disponible pour mes partenaires, d'essayer de leur donner de bons ballons, de combiner du mieux possible avec eux.
Après, les actions individuelles, les percussions, pour l’instant, ce n’est pas possible pour moi. Il faut que je retrouve de la force d’appui, puis j'ai perdu pas mal de vitesse, qui m'empêche de provoquer balle au pied. Donc, pour l’instant, je suis plus un relais pour mes partenaires.
Mon rôle est de servir de relais pour l'équipe, j'essaye d’avoir le moins de déchet possible, de fluidifier le jeu de l'équipe, puis j'essaye aussi à la fois de soutenir Giovanni (Sio) devant et d'aider mes deux milieux axiaux dans l'organisation du jeu. J'essaye de faire de mon mieux, avec mes possibilités et de progresser semaine après semaine en enchaînant les matches et les entraînements.

Enchaîner les matchs

Votre père disait il y a dix ans qu'il vous imaginait finir plus milieu relayeur que meneur de jeu.
Ça dépend des matches, du positionnement, si on a le ballon ou pas, comment joue l’adversaire. Contre Toulouse, vendredi, c’était difficile pour me situer car ils mettaient de longs ballons devant et après ils venaient nous presser très, très haut. Donc, il y avait forcément de la place dans leur dos, mais, moi, pour l'instant, je ne suis pas en capacité de faire les appels dans le dos.
Souvent, je bouge un peu entre la ligne de milieu et de défense adverse, j’essaye d’être trouvable et de me rendre disponible dans cet espace-là. Sauf que là, il y avait très, très peu d'espace entre la ligne de défense toulousaine et celle de milieu, c'était très compact. Il y avait beaucoup de situations de duels et c’était difficile de m’exprimer. C'est là que j’ai des progrès à faire pour résister à la pression adverse, aux charges. Pour savoir garder le ballon. Mais, ça aussi, ça se fera en retrouvant de la force d'appui.

Yoann Gourcuff dit vouloir retrouver de la force d'appui.
Yoann Gourcuff dit vouloir retrouver de la force d'appui. | Photo : AFP.
C'est en enchaînant les matches et les entraînements que j'arriverai à progresser physiquement, à retrouver à la fois de la force d'appui et de la vitesse. Voilà. Après, j'essaye de me situer un peu plus haut que les deux milieux axiaux et en soutien de l'attaquant, Giovanni (Sio). J'ai besoin d’avoir au moins un joueur devant moi, car, comme je ne peux pas trop accélérer, si je suis le joueur le plus haut, je ne peux jouer que vers l’arrière… Alors que si j'ai des joueurs devant moi qui font des appels, je peux les servir.

« Besoin de toucher le ballon »

Votre jeu dos au but a progressé, selon Christian Gourcuff.
À Lyon, j’ai souvent joué comme ça, derrière l’attaquant, notamment les gros matches. Contre des équipes inférieures, on jouait en 4-4-2 losange, j'étais derrière deux attaquants. Avec deux joueurs devant moi, ça me laisse deux possibilités pour trouver une solution. Plus haut, avec un seul attaquant devant, c’est parfois un peu frustrant car il faut beaucoup bouger, beaucoup courir et que parfois on ne touche pas beaucoup de ballons.
Alors que moi, pour m’épanouir, j'ai besoin de beaucoup toucher le ballon. Pas forcément pour faire des choses extraordinaires, mais pour servir de relais, puis rebouger.
Alors que, parfois, quand on est très haut, des fois je suis un peu frustré de ne pas toucher le ballon ou le faire dans des situations où je suis tout de suite au contact de l'adversaire. Je ne suis alors pas dans de bonnes conditions car je suis sous la pression adverse et ce n'est pas trop ce que j'aime. Voilà. Je me donne à fond pour l'équipe, je fais le maximum et, si je suis mieux physiquement, en progressant, je pourrai mieux résister aux charges adverses et si je récupère au fur et à mesure de la vitesse et la possibilité d'aller de l'avant et de pouvoir percuter, peut-être que je serai plus à l'aise pour pouvoir accompagner et être en soutien de Gio (Sio).

« Un déficit de vitesse »

Le fait de ne pas prendre la responsabilité des coups de pied arrêtés, est-ce lié à une problématique physique ?
Je ne le fais pas trop à l’entraînement, puis Paul-Georges (Ntep) veut les frapper et Kamil (Grosicki) aussi quand il joue. Il y a des matches où je me sens de les frapper, mais si un joueur prend le ballon et ses responsabilités, je ne vais pas lui sortir le ballon. Il y a des matches où je me sens mieux physiquement et que je peux frapper, mais c’est le premier qui arrive sur le ballon qui frappe.
Dernièrement, il y avait souvent Paul-Georges. Donc, je l'ai laissé. Contre Toulouse, Giovanni (Sio) a aussi voulu frapper un coup franc, donc je l'ai laissé. Après, c’est à nous de voir celui qui le sent.
Que vous manque-t-il en termes de condition physique ?
On espère qu'en enchaînant les matches et les entraînements, sans pépin, en ayant de la continuité, que ça va revenir, progresser, pour retrouver de la force d’appui, pouvoir frapper au but plus souvent. Pour frapper, il faut de la force d'appui et je suis encore en déficit de force d'appui pour me projeter vers l'avant et frapper. Même aux entraînements, je ne frappe pas beaucoup, donc c’était sympa de marquer ce week-end pour quelqu’un qui ne frappe pas beaucoup, même aux entraînements.

Le milieu de terrain du Stade Rennais reconnaît hésiter à frapper.
Le milieu de terrain du Stade Rennais reconnaît hésiter à frapper. | Photo : Thomas Brégardis / Ouest-France.
Puis j'ai un déficit de vitesse. Sans le ballon et même avec. Pour l'instant, je ne suis pas en capacité de percuter balle au pied. Quand j'ai le ballon, il faut que je le donne. Au mieux, je peux protéger le ballon en attendant le soutien, ou alors, s'il y a des possibilités, je rejoue, puis je me rends à nouveau disponible, je suis dans les redoublements de passes. Mais, pour aller fixer et percuter l’adversaire, pour l'instant, ce n'est pas encore faisable, jouable. Mais en enchaînant les matches, j'espère que ça va revenir. En termes de volume, il n'y a pas de problème, j'ai de bonnes stats de courses. C'est plus dans les changements de rythme, la force et la vitesse. On espère que ça va revenir en enchaînant.

Lorient, « un peu particulier » 

Comment aviez-vous vécu le départ de votre père de Lorient ?
C’était assez frustrant et décevant, avec tout ce qu'il avait construit à Lorient, qu’il arrive dans une situation où il n’était plus content du fonctionnement dans le club. Qu’il parte, il y avait beaucoup de monde triste et déçu, et lui aussi, je pense. On voit que le club a un petit peu bougé depuis et maintenant ça fait quelques années, donc je pense qu'il a pris du recul.
Maintenant, effectivement, je pense que retourner à Lorient est particulier pour lui, mais pas comme si ça avait été tout de suite, la saison après son départ. Il a entraîné la sélection d'Algérie, Lorient a bougé pas mal aussi… Puis, avec le temps, on prend du recul. Moi, quand il est parti, j’étais déçu après tout ce qu’il avait construit dans le club et que dans le fonctionnement, il ne s'y retrouve pas, alors qu'il avait fait beaucoup pour le club, il a construit le club. Après, il s'était passé pas mal de choses, surtout la dernière saison je crois.
Quand on est en désaccord, des fois il vaut mieux prendre des décisions et se quitter, c'est ce qu'il avait fait, même s'il aurait souhaité que ça se passe autrement à l'époque. Ce sera un match un peu particulier, mais ça reste un match. Puis, je le répète : quelques années se sont écoulées, il a eu le temps de digérer pas mal de choses.

Le même Christian Gourcuff

Est-il fidèle au quotidien à ce que vous imaginiez avant de travailler avec lui ?
Je n’ai aucune surprise, je connaissais très bien ses idées, ses philosophies de jeu, son mode de fonctionnement. Parce que même quand j’étais plus jeune, souvent il m’emmenait, j’allais voir les entraînements, je vivais déjà un peu à l’intérieur du truc, je voyais comment il était. Ce sont des choses qui se font naturellement, tout se passe bien, les choses sont claires avec lui, il n'y a pas d’histoire. On essaye de faire du mieux possible, de prendre du plaisir à l'entraînement, d'être concentré, d’avoir la meilleure expression collective, de progresser collectivement.

Yoann Gourcuff à propos de son père Christian : "Les choses sont claires avec lui, il n'y a pas d’histoire."
Yoann Gourcuff à propos de son père Christian : "Les choses sont claires avec lui, il n'y a pas d’histoire." | Photo : Philippe Renault / Ouest-France.
C'est toujours l'équipe et l’expression de l’équipe, dans le domaine offensif ou défensif, qui prime. Toutes les valeurs qu’il essaye de nous inculquer, les progrès qu’on fait et j'espère qu’on va continuer à faire, sur le domaine tactique, ce sont des choses que je connaissais déjà depuis tout gamin. Je le voyais employer ces méthodes-là à Lorient

12 commentaires:

  1. Excellente et longue interview, il est vraiment en confiance avec Ouest-France qui ne déforme pas ses propos, il explique incroyablement bien son état, son jeu, ce qu'il peut faire ou pas, comment il s'adapte. C'est passionnant quand ça parle de jeu aussi bien ! (Malheureusement on va encore avoir droit à la *** qui n’aura même pas lu l'interview mais va quand même dire il est foutu pour le foot, gna gna gna... On parie ?) CP

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    1. On ne pourra pas empêcher la bêtise et la méchanceté de s'exprimer, ici ou ailleurs .....
      MH

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  2. Il a peut-être des douleurs mais il a l’air bien dans ses baskets !

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  3. Les choses sont claires ..... Courage, Yoann ! On est tous derrière toi !
    MH

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  4. Merci pour cette longue et très intéressante interview de Yoann.
    Il fait confiance à Ouest-France et donc donne des explications et ses impressions plus facilement.
    Excellente interview ! cela fait plaisir de suivre cet entretien.

    Je souhaite à Yoann de retrouver toute sa forme physique, de la force d'appui au fil des matchs, qu'il puisse enchainer les matchs et que Rennes nous propose des matchs de plus en plus de qualité.

    Comme il le dit très bien : "On espère qu'en enchaînant les matches et les entraînements, sans pépin, en ayant de la continuité, que ça va revenir, progresser, pour retrouver de la force d’appui, pouvoir frapper au but plus souvent. Pour frapper, il faut de la force d'appui et je suis encore en déficit de force d'appui pour me projeter vers l'avant et frapper."
    Merci, Yoann, pour cette longue et précise interview.
    JY

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  5. Merci Coco pour cette interview de Yoann qui s'est longuement exprimé répondant clairement aux questions que beaucoup de personnes se posaient et qui soulagera C.G. qui doit faire face aux journalistes.... De voir YO renouer avec les journalistes fait plaisir. Il se sent à l'aise à Rennes et heureux. J'espère qu'il fera taire ses détracteurs... Bravo YO et bonne chance...AMF

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  6. voila c(est exactement le bilan que j'en tire avant que totu le monde me tire dessus a boulet rouge. il fait ce qu'il peut mais il n'est pas capable de grand chose pouor le moment

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    1. Juste marquer des buts et faire mieux jouer les autres. A part ça, pas grand chose...

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  7. J'ai lu 2 fois l'ITW et écouté la même chose pour être certaine d'avoir tout saisi , car il s'est très longuement exprimé !
    Chapeau pour sa franchise et surtout sa lucidité ...
    Il est en effet en grande confiance avec Ouest- France pour en faire autant !
    Maintenant , soit le chemin qu'il lui reste à parcourir pour retrouver tous ses moyens sera de retour , mais au bout de combien de temps ? Lui- même ne le sait pas ....Soit , au pire des cas , ça ne reviendra pas à 100% ....Lui- même y fait allusion et c'est tout à son honneur .
    On lui souhaite évidemment qu'il retrouve une meilleure forme ; c'est bien déjà qu'il ait le plaisir d'aligner des matches et les entrainements puisque le plaisir est son maître- mot !
    Maintenant , l'ensemble de l'équipe ne pourra ni l'attendre , ni jouer en fonction de lui : c'est triste , mais c'est pour moi la réalité des choses .
    Ceci-dit , tant qu'il apportera sa " patte " au groupe , il aura sa place : ça ne fait aucun doute .
    Souhaitons lui qu'il s'améliore et surtout que , et de par sa fragilité physique , il ne prenne pas trop de coups qui entraineraient blessures , absences etc ...
    Bon courage et merci Yoann même si je me doute que tu ne viendras pas nous lire !

    D.G

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  8. Tant qu'il ne prend pas la place de quelqu'un qui serait à coup sûr meilleur que lui à son poste, il est normal qu'on continue à lui donner sa chance de revenir.
    Un bon Yoann serait une telle chance pour l'équipe rennaise que ça vaut la peine d'essayer ......
    Il est à la peine, il se donne du mal pour s'en sortir, il ne mérite pas les moqueries et les dénigrements .
    MH

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    1. Qui se moque, à part les cons et ceux pour qui le foot c'est juste : BUUUUUUUUT?

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    2. Ca fait déjà beaucoup de monde ..... lol !
      MH

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