un blog qui collectionne les articles et infos et donne des avis sur Yoann Gourcuff (né le 11/07/86)-------- Claude Cabannes (écrivain-journaliste) :J'aime le joueur Gourcuff. Il m'émeut par son élégance, son allure ,son port de tête ,on sent l'artiste en lui qui ne demande qu 'à s'exprimer .Il y a une certaine tristesse ,une retenue qui me touche .------------ bienvenue,willkommen,welcome--

Coucou, à tous mes visiteurs

Ici,on parle de Yoann ,du club où il joue ,de foot,de L' OL ,de L' EDF, (et pour les autres , si vous le voulez ,on peut en parler dans les commentaires ) et bien sûr dans le respect des uns et des autres .
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jeudi 6 janvier 2011

Le mystère Gourcuff (Article Planète Lyon)via yoyoploemeur et the seven heaven


"voyez avec mon avocat"celle on nous l'avait jamais faite........


Yoann Gourcuff quand on lui a proposé une interview pour ce numéro. En effet, contrairement à la très grande majorité des joueurs qui travaillent avec un agent . Gourcuff est conseillé par un avocat, Mr Didier Poulmaire, qui s’occupe aussi de Laure Manaudou. Résultat, obtenir un entretien avec Yoann Gourcuff commence à devenir un exploit. Surtout que depuis le Mondial cauchemar en Afrique du Sud, il a choisi de parler encore moins qu’avant. Du coup, on a fait sans le Breton. L’occasion de revenir sur son parcours et de décrypter un joueur très à part dans le milieu du foot actuel.

Pour cela, il faut partir en Bretagne, sa région d’origine, là où tout a commencé. Gourcuff y est en effet né le 11 Juillet 1986 à Ploemeur dans le Morbihan où il a passé toute sa jeunesse dans le pavillon familial. Son père Christian Gourcuff, qui a débuté comme prof de maths, est un ancien footballeur devenu entaîneur en Ligue 1 réputé. Et sa mère, Marine Thalouarn, médecin, est une ancienne joueuse de basket de bon niveau. Du coup, comme son frère aîné de 4 ans, Erwan, le petit Yoann a grandi dans un univers sportif et, très vite, le sport devient sa grande passion. Il intègre dès l’âge de 5 ans les équipes de jeunes du FC Lorient, le club entraîné par son père, qui l’accompagne souvent lors des séances. 
Il démontre rapidement de grandes qualités. Mais il est aussi très doué en tennis, qu’il pratique également dès son plus jeune âge. “Il aurait pu être en Première Série (1) très rapidement”, témoigne d’ailleurs Joël Lamor-Plage, au sud de Lorient, où Gourcuff jouera de 6 à 12 ans et où il revient souvent encore aujourd’hui pour disputer une partie avec ses potes quand il passe quelques jours en Bretagne. Effectivement, avec son jeu spectaculaire et son revers à une main, le jeune Yoann ne lâche jamais un point sur un terrain et devient un espoir prometteur du tennis local. Il est même champion de Bretagne des 11-12 ans et atteindra alors son meilleur classement: 15/2. Mais avec trois ou quatre entraînements de tennis par semaine plus trois séances de football, il est obligé de choisir entre les deux sports, préférant finalement le foot. A 13 ans, Gourcuff part donc à 120 kilomètres au nord de Lorient, à Ploufragan, dans les Côtes-d’Armor, où se situe le centre de préformation fédéral, destiné aux meilleurs jeunes footballeurs bretons entre 13 et 15 ans pour les préparer à intégrer par la suite un centre de formation d’un club professionnel.


“Il aurait rempli un cirque!”
A Ploufragan, Gourcuff est interne toute la semaine avant de rentrer dans sa famille le week-end. “J’ai tout de suite décelé chez lui un potentiel”, se souvient Patrick Papin, responsable du centre de péformation de Ploufragan. ” A 13 ans, il avait déjà une très bonne technique. Par exemple, Yoann organisait dans le hall d’entrée des concours de jongles avec des boules antistress toutes molles, à peine plus grosses qu’une balle de tennis. Il était arrivé à plus de 120 jongles. “C’était inpressionant. Il aurait rempli un cirque!” A Ploufragan, Yoann Gourcuff s'épanouit aussi au sein d’une génération 1986 exceptionnelle puisque ses camarades sont Romain Danzé et Sylvain Marveaux aujourd’hui titulaires à Rennes et Frédéric Sammaritano, millieu de l’AJ Auxerre.

Puis à 15 ans en 2001, il intègre le centre de formation du stade rennais. Un choix évident puisque son père devient au même moment l’entraîneur de l’équipe première du club “Quand son papa est venu chez nous, il m’a demandé si son fils m’intéresserait. Je lui ai répondu: “Ecoute, je vais le chercher à genoux si tu veux!” raconte Patrick Rampillon, le directeur du centre de formation de Rennes. Là-bas, Gourcuff va démontrer une force de caractère importante puisqu’il décide de rester alors que son père est viré au bout d’un an seulement. Ce qu’il vit très mal. Mais il est bien intégré à l’internat où il aime écouter de la musique bretonne à fond dans sa chambre. “C’était sympa, ça nous changeait du rap des autres internes!” se marre  un responsable du centre. Très jeune, Gourcuff manifeste ses racines bretonnes, participant de temps en temps à des fes-noz (2) quand il rentre à Lorient.
Sportivement, sa progression va être fulgurante. Surclassé, il emporte ainsi la Coupe Gambardella 2003 avec des jeunes nés en 1984 qui ont deux ans de plus que lui. Il marque même au Stade de France le premier but de la victoire rennaise 4-1 contre Strasbourg, sur coup franc. Des garçons comme ça, on n’a pas besoin de les former, on ne fait que les accompagner. Yoann, c’est un joueur parfait à coacher: un élément de talent qui te fait gagner et met son talent au service du collectif”, explique Landry Chauvin, son formateur de l’époque. Parallèlement, il est aussi très sérieux dans ses études, bénéficiant notamment d’un micro-ordinateur fourni par son père. “C’était un élèvé très appliqué, souvent le dernier à rendre ses contrôles. Il fallait même carrément lui arracher la copie des mains!” se souvient Christophe Ronceray, responsable pédagogique du centre, qui était aussi le prof d’anglais de Gourcuff “Et il détestait recevoir une mauvaise note. Une fois, il avait même repoussé sa table tellement il était en colère sontre lui-même.”

Bref, le jeune Gourcuff est studieux. Quelques mois avant de passer son bac, il demande même à être dispensé des révisions collectives pour pouvoir mieux travailler, seul, dans sa chambre…

“Il m’avait alors rassuré en me disant: “Ne vous inquiétez pas, j’aurai mon bac”, explique Rampillon. Preuve de cette résolution, en mai 2004, il préfère rester à Rennes et réviser plutôt que partir à Monaco disputer la finale du championnat de France des réserves. Résultat, il obtient effectivement un bac STT marketing-communication.



Entre-temps, il a signé son premier contrat professionnel en novembre 2003, à 17 ans. Il intègre alors le groupe professionnel où l’entraineur Laszlo Bölöni lui accorde vite sa confiance. Et il débute en ligue 1 le 7 Février 2004 contre Auxerre, remplaçant Cédric Barbosa à la 76éme minute. ‘Je m’en souviens bien” raconte Barbosa. “Car par la suite, je me suis blessé et c’est Yoann qui m’a piqué ma place au milieu! ça se voyait tout de suite que c’était un joueur hors normes. Souvent, on parlait de Nasri ou Benzema comme le futur Zidane. Mais pour moi, celui qui ressemblait le plus à Zidane dans son jeu, c’était lui” Très réservé, Gourcuff est intégré dans l’équipe par Etienne Didot, l’autre Breton de l’équipe. J’étais à coté de lui dans le vestiaire et c’est vrai qu’il parle pas beaucoup. Mais il sait se lâcher, c’est un petit chambreur”, révèle Barbosa. Puis Gourcuff remporte en juillet 2005 en Irlande du Nord le championnat d’Europe des moins de 19 ans avec notamment son pote Hugo Lloris alors gardien à Nice. Et il explose vraiment la saison suivante en 2005-2006, jouant 36 matchs pour six buts en Ligue 1. Il participe notamment, avec un but, à une mémorable victoire rennaise 4-1 à Gerland le 25 février 2006 alors que cet OL-là coaché par Gérard Houllier était quasi imbattable.



Condamné pour violences:
Seulement, en fin de saison, il refuse de prolonger son contrat qui se terminait en juin 2007. “En fait Rennes a fait une grosse connerie”, explique Nicolas Carnec, journaliste à Ouest France, qui fréquente Gourcuff depuis ses débuts. Après son titre à L’Euro, le club aurait dû faire le forcing pour le prolonger. Mais le Stade rennais ne le fait pas et propose une prolongation à son jeune prodige seulement en fin de saison. Le temps pour Gourcuff de se poser des questions. “A ce moment-là, il m’a appelé pour parler de son avenir”, se souvient Patrick Papon, son formateur de Ploufragan. “A Rennes, à 20 ans à peine, on lui demandait d’être un leader. Mais il ne le sentait pas trop, il préférait un club qui le fasse progresser. Par contre, je lui ai expliqué que son objectif devait être la Coupe du monde 2010. Il m’avait alors répondu “Non, c’est pas possible! En équipe de France, à ma place, il y a tel joueur, tel joueur…”
En position de force, Yoann Gourcuff décide finalement de partir puisqu’il est très convoité: Le MIlan AC, Minaco, le PSG et…L’OL déjà. “J’avais d’ailleurs alors rencontré Aulas et Houllier”, raconte Christian Gourcuff, le premier conseiller de son fils pour ses choix de carrière. Et Yoann a beaucoup hésité entre l’OL et le MiIlan. Mais à Lyon, l’équipe était vraiment en place alors qu’à Milan, elle était déjà en vieillissante. Bref, il a préféré patienter à Milan plutôt qu’à Lyon. Finalement, il signe un contrat de cinq ans au Milan AC estimé à 4 millions d’euros.
Il quitte aussi Rennes sur une fausse note puisqu’il est condamné en septembre 2006 par le tribunal correctionnel de Lorient à 2000 euros d’amende pour “violence volontaire ayant entrainé un ITT de plus de huit jours”, Yoann Gourcuff était poursuivi pour avoir légèrement blessé un jeune homme dans une bagarre à la sortie d’une discothèque de Hennebont dans le Morbihan le 27 Février précédent.

En Italie, ses débuts se passent plutôt bien. Il marque même un but pour sa première titularisation en ligue des Champion le 13 septembre contre l’AEK Athènes.
Mais dans une équipe qui gagnera la Ligue des Champions cette saison-là, portée par un milieu de terrain royal - Kaka, Pirlo, Gattsuso et Seedorf - il a peu de place pour s’imposer. Mais il apprend beaucoup. “J’avais passé trois jours à Milan avec lui en décembre 2006, raconte Nicolas Carnec . Il avait déjà beaucoup progressé, notamment sur le plan athlétique. Et il était heureux dans son appartement de la banlieue milanaise. On l’avait suivi à l’entraînement, puis on avait déjeuné à Milanello avec lui et …Maldini!” ajoute Carnec . Le même Maldini qui l’a critiqué si durement cet automne. Seulement, après cette première saison plutôt réussie, Gourcuff ne joue  presque pas l’année suivante, avec seulement quatre titularisations en Serie A




L’analyse de Christian Gourcuff :” Le reproche qu’on peut faire à Ancelotti, c’est qu’au bout de la première saison qui s’était très bien passée, ils ont prolongé Yoann d’une année avec une augmentation de salaire et une promesse de temps de jeu plus importante. Pour Yoann, ça signifiait qu’il comptait vraiment sur lui. mais quand il est revenu de vacances, le Brésilien Emerson avait signé. Donc il a vite vu qu’il ne rentrait pas dans les plans. C’est dommage de lui avoir tenu ce discours parce qu’il perdu une année”

Du coup en 2008, encore plus barré par l’arrivée de Ronaldinho, il est alors prêté par le Milan Ac à Bordeaux, où il va devenir une star de Ligue1 et un titulaire en équipe de France. Au girondins, Gourcuff découvre en effet un coach, Laurent Blanc, qui prône un jeu offensif et bien construit, exactement ce que recherche le Breton, obsédé par le “plaisir” du jeu, un terme qu’il répète systématiquement à chaque interview. Et sa première année à Bordeaux se déroule comme dans un rêve puisqu’il est l’artisan n°1 sur le terrain du titre de France 2009 de Bordeaux, inscrivant 12 buts, le meilleur total de sa carrière, dont deux chefs-d’œuvre qui ont marqué les esprits contre Toulouse et le PSG. Il est alors élu meilleur joueur de L1, recevant son trophée des main de Zidane. Comme passage de témoin entre l’ancien meneur des Bleus et le nouveau. Bordeaux lève alors l’option d’achat et verse 13.4 millions d’euros au Milan AC pour signer un contrat de quatre ans à Gourcuff. Avec l’un des plus important salaire du pays: plus de 300 000 euros mensuels. Malgré une ultime tentative de Leonardo, tout nouveau coach du Milan Ac, qui vient le rencontrer à Bordeaux. Gourcuff terminera l’année 2009 par une 20éme place prometteuse du Ballon d’or. Fin de la période dorée
Autre souci pour Gourcuff, la charge très violente de Paolo Maldini contre lui dans l’Equipe du 26 Novembre. Extrait: ” Gourcuff, au Milan, s’est trompé à 100% (…) Il ne s’est pas montré intelligent dans la manière de se gérer lui-même.

Trop intelligent?
Car l’année 2010 débute et elle sera la pire de sa carrière. En effet, alors que les Girondins écrasaient le championnat de France à la trêve, ils vont s’écouler d’une manière incroyable à partir de Janvier, terminant seulement 6éme, privés de Coupe d’Europe. Comme ses partenaires Gourcuff plonge et ne relèvera jamais la tête.
Il enchaîne avec un Mondial terrible en Afrique du Sud où il est victime de jalousies et des moqueries de plusieurs cadres des Bleus: Ribéry, Anelka, Evra, Henry…Des anciens sûrement jaloux de son succès. Par exemple, c’est une photo de Gourcuff qu’Adidas a choisi pour la vitrine de son magasin parisien, en compagnie de Lionel Messi, “Son entourage raconte qu’il a été très marqué par le climat au Mondial et les piques dont il a été l’objet”, révèle un journaliste présent en Afrique du Sud. Un traumatisme qui visiblement ne passe pas. La preuve avec un incident début septembre à Tola Vologe. ce jour-là, Gourcuff est interviewé par le journaliste de TF1 David Astroga.
Quand ce dernier revient sur le Mondial et cite le nom de Ribéry, Gourcuff commence immédiatement à trembler, à transpirer…Il refuse alors de répondre, se lève, balance son micro et s’en va. La vraie réaction d’un joueur traumatisé. Une preuve aussi que Gourcuff a du mal à gérer la pression médiatique. On se souvient notamment de sa réaction au printemps dernier à Bordeaux où il avait accusé la presse de “déstabiliser” son équipe. Son coach, Laurent Blanc avait alors expliqué que le jeune Gourcuff devait apprendre à mieux gérer le rôle des médias. (…)La tactique, il ne voulait pas la travailler. Il n’était pas toujours à l’heure. Il s’est passé beaucoup de choses. Des choses qu’il n’est pas possible de raconter (…) Quand il entrait en jeu, il ne se donnait pas à fond (…) Au bout d’un moment, il était devenu un corps étranger au groupe” Très étonnant de la part d’un joueur  exemplaire comme Maldini, pas réputé pour ses déclarations chocs. Des reproches à rapprocher des propos de Carlos Ancelotti en 2008-2009, quand Gourcuff avait explosé à Bordeaux: “Si Gourcuff a peu joué ici ( à Milan), c’est parce qu’il ne méritait pas de jouer (…) En France il fait de bonnes choses, parce qu’il a plus de conviction, qu’il est sûr d’être titulaire” Ancelotti avait aussi critiqué Gourcuff sans son autobiographie : “C’était un talent mais il était aussi fou. Un garçon, très étrange, égocentrique: il pensait surtout à lui-même (…) Il était turbulent en dehors du terrain”
“Reponse” de Christian Gourcuff: “La réaction d’Ancelotti est normale. Parce que la saison que réussissait Yoann à Bordeaux, il l’a reçue en pleine figure. Qu’il explose à Bordeaux, c’était pas un bon point pour Ancelotti vis-à-vis de la direction du Milan où Yoann avait beaucoup de soutien.”

En tout cas, ces critiques très dures jettent une ombre sur Yoann Gourcuff. Et surprennent beaucoup. Car, par exemple à Bordeaux pendant deux ans, il n’a apparemment jamais posé problème. La preuve, Jean-Louis Triaud, le président des Girondins, et Cédric Carasso, le gardien de but, l’ont défendu après les déclarations de Maldini. A Lyon également, Jimmy Briand, déjà son partenaire à Rennes, dresse un portrait sympa de Gourcuff et confirme sa timidité: “Je retrouve le même garçon attachant que j’avais quitté il y a quelques années. mais il est un peu réserve avec les gens qu’il ne connaît pas. Du coup, on essaie tous de le mettre à l’aise. On sait qu’il en a besoin pour donner la pleine mesure de son talent.” Son père a aussi réagi fortement aux propos de Maldini: “Yoann dérange. Il est différent. Il possède une autre structure culturelle, d’autres intérêts intellectuels. Personne n’aime la différence dans ce milieu.” Autrement dit, Yoann Gourcuff serait trop intelligent!

Face aux attaques, Gourcuff, lui, a choisi de se murer dans le silence. Sauf que sportivement, depuis son arrivée à l’OL, il n’a toujours pas réussi à remonter la pente. Décevant dans ses prestations, il a aussi été blessé trois semaines après un violent tacle adverse à Schalke 04 le 24 novembre.
A-t-il du mal à supporter la pression énorme qu’il subit à Lyon, depuis son transfert: 22 millions d’euros versés par l’OL à Bordeaux pour l’acheter, un record. En tout cas, on le sent mal à l’aise face à son statut de superstar et de phénomène marketing, à l’image de son petit sourire gêné le 25 Août lors de la prestation de l’équipe au stade Gerland devant 15 000 fans venus essentiellement pour lui. Depuis, aux entraînement, il est fuyant et ne pense qu’à rentrer le plus vite possible dans les vestiaire. Pour repartir ensuite discrètement au volant de son Audi A5 noir aux vitres ultra-teintées. Entrainant ainsi un parfum de mystère autour de lui.

Phénomène Marketing
Plus qu’un simple joueur, Yoann Gourcuff est aussi un vrai produit commercial. Son physique de mannequin attirant notamment un public beaucoup plus féminin. Ce qui ouvre des perspectives économiques très intéressantes ($$$$). Il a ainsi crée en décembre 2007 avec ses parents et son avocat la société “Yo image” pour gérer ses contrats extra-sportifs. Une structure qui attachait déjà 299 000 euros de bénéfices en 2008. Alors Gourcuff venait à peine d’exploser à Bordeaux. On imagine les résultats aujourd’hui! Par ailleurs, le meneur de jeu de l’OL est aussi sous contrat jusqu’en 2014 avec Adidas, qui lui verse 600 000 euros annuels. Et l’OL a signé un contrat de licence avec lui, commercialisant la marque Yoann Gourcuff. Concrètement le club et Gourcuff veulent signer une demi-douzaine de contrats, sur lesquels l’OL touchera de l’argent ($$$..$). Cibles prioritaires, les marques de luxe: voitures, parfums, montres…Par ailleurs, cette saison le club ambitionne de vendre 150 000 maillots floqués Gourcuff sur 300 000 au total. Jean Michel Cash Aulas a déjà annoncé espérer toucher 10 millions d’euros de retombées économiques d’ici la fin de Contrat de Gourcuff en 2015.

son pére et un ancien entraîneur parlent de Yoann


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